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LAURA 092: sexe à l’hôtel 7

Posted on August 29, 2024

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Babes

La semaine dernière, dans une forêt de pin qui longe l’océan, j’ai eu une relation sexuelle avec Rémi un client de l’hôtel ou je suis engagée pour la saison estivale.

Depuis ce jour dés que nous nous croisons dans l’hôtel et quand nous pouvons le faire discrètement nous nous embrassons et caressons furtivement.

J’aime bien quand il passe sa main sous ma jupe et caresse mon sexe, mais surtout je prends un malin plaisir à peloter et malaxer son pénis puis à le voir partir avec une belle bosse qui déforme son short.

Depuis il a un plan en tête pour que nous puissions faire l’amour dans sa chambre sans être dérangés par sa femme. Il connait bien la région car il y vient en vacances régulièrement, ayant sympathisé avec ses personnes qui logent dans l’hôtel petit à petit il leur met en tête l’idée d’une sortie commune à La Rochelle.

Au bout de quelques jours l’idée a fait son chemin, très intéressés par cette escapade il prévoient de partir assez tôt le matin pour revenir dans la soirée.

Au dernier moment il se désiste prétextant une sortie pour pêcher en mer avec un homme possédant un bateau, il raconte que la sortie en mer ne peut pas être remise à plus tard car l’homme termine ses vacances le lendemain.

Il baratine sa femme et les gens qui doivent passer la journée à La Rochelle disant qu’il est navré mais qu’ils doivent faire ce qui était prévu sans s’occuper de lui.

Son épouse qui a l’habitude de le voir privilégier “sa pêche” est contrariée mais décrète qu’ils peuvent se passer de lui.

Ce matin, après mon travail, les bras chargés de draps et de serviettes de toilette je frappe à la porte de la chambre de Rémi, j’entends sa voix qui me dit d’entrer. Une fois à l’intérieur mon regard fait le tour de la pièce, je m’assure qu’il est seul.

– ne t’inquiète pas ma femme est partie pour la journée, nous allons pouvoir passer un bon moment sans être dérangés –

Il s’approche de moi, il passe ses bras autour de ma taille et moi les miens autour de son cou. Ses lèvres sont sur les miennes, nos langues se cherchent et se mêlent.

Nous échangeons de longs baisers pendant que je sens contre mon ventre son pénis gonfler et se raidir.

Ensuite nous nous déshabillons mutuellement sans nous presser tout en nous caressant.

Une fois couchés sur le lit côte à côte nous nous embrassons.

Je caresse bycasino son torse puis son ventre et enfin son pénis et ses testicules.

Les mains de Rémi s’activent sur ma poitrine, mon ventre, mes cuisses pour finir sur mon sexe.

Sa bouche et sa langue s’occupent de mes seins, il suce ou mordille les tétons.

Pendant que je caresse ou masturbe doucement sa queue, prenant son temps, il doigte ma chatte puis commence à masturber mon clitoris.

Nous nous mettons tête bêche, moi sous lui.

Il embrasse mon sexe puis sa langue s’introduit dans ma chatte qu’elle explore pendant un bon moment pendant qu’un doigt pénètre dans mon anus et y fait des va-et-vient.

J’embrasse et lèche ses cuisses puis longuement son pénis bien érigé.

Il sursaute quand après avoir bien suçoté le gland j’enfonce la verge dans ma bouche jusqu’à ce que mon nez touche son pubis, je lui fais une fellation en alternant les aller-retour lents et rapides de mes lèvres sur son membre.

Avec ce qu’il fait à mon sexe le plaisir monte dans mon ventre.

Plusieurs fois il tire ma tête en arrière en me prenant par les cheveux pour que je cesse de sucer sa verge car il ne veut pas éjaculer trop vite.

Il change de position et allongé sur moi il me pénètre.

Tout en m’embrassant ou s’occupant avec sa bouche de mes seins il donne des coups de reins pour faire aller et venir sa queue dans mon intimité, les clapotis de ma mouillure et les battements de ses bourses contre mes fesses rythment les aller-retour de sa queue dans mon intimité.

Plusieurs fois il cesse de remuer quand il sent qu’il ne va plus pouvoir se retenir.

Pour ne pas être en reste je fais bouger mon bassin en même temps que lui en rythmant mes mouvements avec les siens.

A un moment alors que sentant qu’il ne va plus tenir il a cessé de donner des coups de reins moi je continue à remuer sous lui, son corps se crispe et sa queue s’agite en moi pendant qu’il éjacule dans mon vagin.

J’essuie mon sexe.

Comme il bande toujours après s’être retiré, à genoux à côté de lui, je lui fais une fellation vigoureuse sans me soucier que sa verge soit pleine de sperme.

Je m’active un moment pendant qu’il masturbe violemment mon clitoris et doigte mon anus.

Le plaisir dans mon ventre devient de plus en plus fort ce qui me fait encore bycasino giris accélérer les va-et-vient de ma bouche sur sa queue, en même temps je malaxe ses testicules.

Le résultat que j’attendais arrive, sa queue tressaute dans ma bouche pendant que des giclées de sperme coulent dans ma gorge.

J’avale sa semence et je continue la fellation un bon moment ce qui fait que je finis par remettre en forme sans trop de peine son pénis qui a eu tendance à perdre de sa prestance.

C’est lui qui met fin à la torture que je lui inflige en me repoussa, il veut passer à autre chose.

Il me demande de me mettre à genoux, positionné derrière moi sa verge cherche l’ouverture de mon intimité dans laquelle elle s’enfonce.

Il me défonce pendant un moment à grands coups de reins, ses testicules claquent contre mes fesses.

La queue quitte ma chatte et vient buter contre mon anus dans lequel elle s’enfonce jusqu’à ce que les bourses de Rémi viennent buter contre mes fesses.

Il reste un instant sans bouger savourant le fait que sa verge soit enserrée dans mon orifice anal.

Ce n’est qu’après qu’il ait commencé à masturber mon clitoris qu’il se met à me défoncer.

S’il prend beaucoup de plaisir à me sodomiser moi j’en ressens de plus en plus car ses doigts ne ménagent pas mon clitoris.

Il fait durer les va-et-vient de sa queue dans mon cul arrêtant de temps en temps de me défoncer quand il est au bord de l’éjaculation mais sa main ne cesse pas de torturer la partie de mon sexe qu’elle a pris pour cible.

Le plaisir dans mon ventre va en croissant depuis un moment puis arrive à son maximum et prise de spasmes j’ai un orgasme, la cyprine qui sort en jets de mon vagin arrose sa main.

Heureux de ce qui m’arrive il accélère les coups de reins et me défonce de plus belle, ses testicules tapent contre mes fesses puis arrive le moment ou il se raidit, son pénis s’agite et il éjacule dans mon corps.

Il se retire et s’allonge sur le lit.

Allongé à côté de moi il récupère pendant qu’une de mes mains caresse sa poitrine et son ventre.

Après un petit temps de repos je caresse puis masturbe de nouveau son pénis gluant de sperme et de mouillure pendant un moment jusqu’à ce qu’il bande de nouveau.

J’approche ma bouche puis je lui fais une fellation énergique tout en bycasino giriş alternant avec le léchage de son membre.

Comme je fais durer la torture que j’inflige à sa verge il est de plus en plus excité et son corps commence à bouger sur le lit.

Je décide de continuer à prendre les initiatives.

A califourchon sur lui, mes jambes de chaque côté de son corps, je saisis sa verge avec une main et la positionne à l’entrée de ma chatte puis je me baisse pour la faire pénétrer à l’intérieur.

Je commence à faire bouger mon corps pour faire aller et venir ma chatte sur son pénis.

Rémy caresse mes seins, ses doigts agacent et triturent mes tétons pendant que j’accélère les mouvements.

Je me démène et donne des coups de reins pendant un bon moment pour son plus grand plaisir car il me dit aimer ce que je lui fais.

Les sensations que je ressens ne faiblissent pas bien au contraire et ne pouvant pas me retenir je jouis de nouveau puis je reste un moment immobile avec toujours sa queue plantée en moi. Voyant ça il décide de changer de position, ses bras enserrant ma taille il me retourne et se retrouve sur moi.

Couchée sur le dos les jambes repliées Rémi pénètre ma chatte et me défonce donnant des violents coups de reins pendant un moment, je mouille beaucoup, puis sa queue en sort.

Trouvant mon intimité bien inondée il souhaite changer d’orifice.

Le pénis vient buter entre mes fesses, avec une main je la positionne à l’entrée de mon anus.

Il exerce une poussée et le pénis bien gluant de sperme et de mouillure coulisse sans mal dans mon orifice anal.

Toujours avec la même vigueur il me sodomise faisant claquer ses testicules contre mes fesses.

Notre accouplement dure pendant un bon moment, comme il a déjà éjaculé plusieurs fois il est long à venir.

Les va-et-vient incessant de sa queue dans mon corps font de nouveau monter le plaisir dans mon ventre et au bout d’un moment mon corps se tend, mes fesses se soulèvent et de nouveau prise de spasmes j’ai encore un orgasme pendant qu’indifférent il continue à me défoncer.

Il se déchaîne et ses coups de reins sont de plus en plus rapides et violents.

il finit par se crisper, sa queue s’agite dans mon cul pendant qu’il y déverse son reste de semence.

Allongés côte à côte nous récupérons avant d’aller nous laver. Une fois rhabillée je change les serviettes et les draps, il m’aide à refaire le lit.

Nous nous embrassons puis je quitte la chambre emportant le linge souillé pour le mettre au sale.

Dommage que Rémi parte bientôt, j’aurais bien continué les parties de jambes en l’air avec lui.t

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Carnets d’aventures Partie 01

Posted on August 29, 2024

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Hayden Winters

Publié à l’intention des amateurs de sexualité vénale et insolite.

Avertissement au lecteur.

Les adresses ne sont pas publiées, mais je peux les communiquer sur demande, d’une manière discrète, à convenir.

Saïgon, juillet 2006, salon de massage.

Comme j’examinais avec attention l’affiche d’un salon de massage, un homme m’a abordé pour me proposer “Much better, very cheap, only 40 dollars, happy ending. This place, no happy ending.” J’avais en poche environ 180 dollars, ni trop ni trop peu pour ce genre d’aventure. Il me prend à l’arrière de sa moto Honda et pendant un quart d’heure qui m’a paru durer une heure, il s’est faufilé à toute vitesse dans le flot des vélos, des motos et des camionnettes, tout en brûlant la plupart des rares feux rouges. Dans quelle banlieue éloignée m’emmenait-il? Dans quel coupe-gorge m’étais-je laissé entraîner?

Il a fini par garer sa moto devant une porte anonyme en aluminium et en verre dépoli. Il a poussé la porte, et m’a conduit par un long couloir humide qui sentait l’ordure et l’eau de vaisselle jusqu’à une autre porte, qu’il a ouverte en habitué sur un salon d’où a jailli un concert de cris de bienvenue. J’ai cru un instant que nous entrions dans une volière.

La patronne et ses filles qui regardaient une “série” en anglais sur un grand écran plat d’un modèle haut de gamme se sont empressées de nous saluer, chaque à son tour. La patronne nous a fait servir du thé vert.

J’ai payé 20 dollars pour le massage de base, les suppléments devant être discutés après. On m’a installé sur une table professionnelle assez haute, dans une pièce carrelée de blanc, froide comme un cabinet d’infirmière. Trois filles sont venues autour de moi, vêtues de courtes blouses de nylon blanc très mince sous lesquelles elles étaient nues. Ces oiselles se bousculaient en riant pour me faire tâter leurs fesses, leurs seins et leurs minous poilus. Elles voulaient toutes les trois s’occuper de moi. J’en ai retenu deux pour 70 dollars. Une jeune timide et frêle avec de tout petits seins dont les aréoles étaient très sombres, et une “grande soeur” plus charnue, avec des seins volumineux aux tétons roses et gonflés qu’elle avait auparavant glissés entre mes lèvres pour que je sente comme ils bandaient. Elles m’ont emmené dans une autre pièce plus chaleureuse, où brûlait de l’encens et nous nous sommes installés tous les trois sur un grand “futon” japonais, posé sur une moquette tachée.

Elles ont commencé un classique massage à quatre mains qui s’est vite centré sur mon bas ventre. La petite a pris mon gland entre ses lèvres et m’a sucé délicatement avec un art tout oriental, sans presser la cadence. Je pétrissais ses cuisses et j’introduisais mes doigts dans la moiteur de ses lèvres cachées au creux d’un buisson noir et touffu. L’autre me caressait la poitrine et le visage avec ses seins. La petite s’est accroupie sur mon visage. Elle a présenté sa chatte à ma langue. Sentant ma gourmandise, elle m’a offert son oeillet à lécher. Sa copine a pris ma main et l’a menée jusqu’à sa chatte tout aussi visqueuse que celle de la jeune. Elle l’a guidée avec autorité jusqu’à son trou du cul, qu’elle avait largement graissé de vaseline pour que je puisse y enfiler mes doigts. J’y ai enfoncé l’index et le majeur de ma main gauche pendant que mon pouce pénétrait son vagin, et j’ai vigoureusement remué ces trois doigts. Cela ne semblait pas lui déplaire, car elle accompagnait mes caresses déjà profondes de mouvements du bassin, comme si elle souhaitait que je m’enfonce en elle encore plus. La jeune se branlait sur mon nez et sa chatte me jutait abondamment dans les narines. Puis elle a repris son travail de la langue et des lèvres. A mesure qu’elle accélérait la cadence je serrais de plus en plus fort le téton gauche de la grosse entre mes dents, que j’enveloppais de mes lèvres pour ne pas le blesser. Par contre, elle me mordait l’oreille sans la moindre précaution.

Est arrivé ce qui s’annonçait peu résistiblement. La pipeuse a tout avalé, après avoir prolongé ma jouissance le plus longtemps possible avec sa langue experte. Cette langue divine a nettoyé mon gland, et puis la fille m’a enfilé mon slip et mes chaussettes. Gentille attention. J’en profitais pour continuer à la caresser. Elle riait en tentant de cacher sa bouche avec sa main. Délicieuse timidité factice enseignée aux femmes orientales.

Elles ont ensuite réclamé des “tip” en minaudant. 30 dollars après discussion. Nous sommes redescendus au salon où les autres, avec force sourires et caresses, m’ont demandé en s’accrochant à mes bras “Come with me, nice girl, very sweet” ce que j’étais prêt à croire, mais mes bourses étaient vides, de dollars comme de sperme.

“Look at her, she’s virgin” m’a déclaré la patronne en appelant une toute jeune qui cachait son visage. Elle l’a couchée sur un canapé (défoncé) lui a relevé la jupette plissée bleu-marine (sans doute a-t-elle souvent des clients japonais) et lui a fait écarter les jambes pour que la vue de ses lèvres roses et couvertes d’un mince duvet me convainque de sa bycasino virginité. “400 dollars, very cheap for a virgin. Her parents badly need money”. La fille était mignonne. Même si elle n’était pas vierge, ce devait être un coup délicieux à tirer. “I will think. Later, another day perhaps”. Méfiance, ce pouvait être un piège. Je ne connaissais pas assez cette maison pour me risquer jusque là. Il me restait 20 dollars pour le chauffeur. Il en réclamait 50 mais après une longue discussion , il s’est estimé satisfait.

Cette expérience très positive m’a incité à y retourner tout seul (l’utilisation au Vietnam des caractères latins nous permet de mémoriser les adresses). J’ai été accueilli avec le même enthousiasme. Je n’ai pris qu’une fille. Elle avait une longue chevelure noire, un regard très doux et des manières nonchalantes.

Massage préliminaire, caresses, vrais baisers (pour l’encourager dans cette voie prometteuse : “I will give you a good tip”, le “good tip” facilite bien des choses) et 69. Je l’ai chatouillée en promenant ma langue dans son dos. Je l’ai longuement sucée. Son adorable clitoris était tout raide, mes lèvres le retenaient prisonnier pour son plus grand bonheur. La jouissance lui a tiré de grands soupirs du fond du ventre, elle a gigotté comme une folle et m’a griffé le dos de ses grands ongles, mais je la tenais solidement par les fesses et j’ai continué en écrasant son clitoris avec ma langue pour prolonger le plus possible son orgasme. Profitant alors de ce qu’elle reprenait son souffle, je l’ai pénétrée sans lui demander son avis. Etroite, glissante, et gémissante, comme si c’était sa première fois. Elle a joui intensément comme dix minutes auparavant, et moi avec elle.

Nous sommes restés enlacés, continuant à nous embrasser à la française, mais la patronne est venue pour me rappeler que les meilleures choses ont une fin. J’ai donné 100 dollars à cette douce chatte, cela faisait 120 avec la mise initiale, et 30 à la patronne, pour qu’à l’avenir elle me réserve ses meilleures filles.

Conclusion générale : Excellente adresse. Prix corrects par rapport à la qualité des prestations. On peut trouver moins cher à Saïgon mais pour des passes expédiées. Accueil : très chaleureux, mais prestations un peu chrono. Propreté des lieux : correcte sans plus. Propreté des personnes : excellente. A noter : rapports non protégés, mais aucun désagrément en est résulté.

Paris 15ième, septembre 2007, l’art du corps.

Au cinquième étage d’un immeuble parisien propre mais sans charme, j’ai sonné tout en examinant la plaque “Conseil en développement corporel”. Une voix rauque et maussade, plutôt mâle à moins que ce ne soit celle d’une grande fumeuse a demandé “C’est qui?” “Nous avons rendez-vous, je suis Valcour.”

La porte s’est entrouverte. J’ai distingué dans la pénombre une créature aux muscles énormes, nue sauf un assemblage d’étroits rubans verts fluo qui lui passait entre les cuisses, lui ceinturait la taille et lui couvrait tout juste les tétons accrochés en avant de gros seins fermes et visiblement siliconés.

C’était bien une femme, comme en témoignaient les grosses lèvres de son sexe qui émergeaient d’une fente ménagée entre les rubans qui jouaient le rôle de bikini. Comme je regardais sa peau bronzée, qui luisait comme passée à l’huile solaire :

— Si t’aimes la viande, tu vas être servi.

Elle faisait jouer ses pectoraux et ses biceps. Le moindre de ses mouvements mettait en action des muscles surdimensionnés. D’énormes veines apparentes parcourraient ses cuisses et ses mollets. La contraction des muscles les faisaient ressortir.

— C’est 200.

— Pour une heure? (hasardais-je timidement).

Grand rire :

— ça dépendra si tu m’plais! C’est moi qui déciderai.

J’étais embarqué.

— Vous êtes superbe.

— Pas de manières, mon chou, moi c’est Gina. Et toi?

— Valcour.

— C’est pas un prénom ça!

— C’est mon nom de guerre, ou plutôt d’explorateur, je n’fais la guerre à personne.

— Avec moi tu vas en découvrir. Montre ta saucisse.

Elle commençait à défaire ma ceinture et à plonger sa main dans mon slip pour tâter ma raideur.

— Tâte moi donc, t’a payé pour ça. T’es timide comme un préado.

Je dirigeais ma main vers son bas-ventre et sa chatte dont les grosses lèvres pendaient, mais elle a vite interrompu mon exploration.

— A la douche, mon chou, j’aime pas les odeurs de sueur. Surtout des mâles.

Elle a surveillé que je me savonnais bien partout. Elle m’a emmené dans une pièce dont les murs étaient décorés de photos en noir et blanc de nus musculeux, mâles et femelles plus grands que nature, tout encombrée de matériel de culture physique. Elle s’est allongée sur un mince matelas de mousse recouvert d’un drap blanc, propre et imprimé de caractères chinois rouges et noirs. Elle avait du goût malgré des manières assez brusques. Elle m’a offert à tâter ses gros seins fermes et ronds comme des ballons trop gonflés, ses cuisses, sa chatte.

— Tu peux bycasino giris y aller, c’est pas de la guimauve.

En empoignant rudement la chair (flasque) de ma cuisse, elle me montrait comment elle attendait que je la prenne. Je lui ai enlevé son string minimal mais élaboré, j’ai tenté de pétrir sa “viande”, mais elle s’appliquait à durcir ses muscles pour résister à mes tentatives de massage. J’ai commencé à trifouiller dans sa chatte dont les grandes lèvres pendantes me fascinaient. Elle devait les étirer tous les jours comme en Afrique on s’étire les oreilles. Ses fesses étaient comme des billes de bois, et tout son corps huilé semblait se dérober à mes caresses exploratoires. Un gros clitoris émerge, décalotté comme un pénis de bébé.

J’ai approché ma langue;

— Suce, je t’ordonne. Et si c’est pas bien, je ratatine tes couilles.

Ce qu’elle commençait à faire en malaxant durement ma queue raide et mes roubignolles. J’ai attrapé ses lèvres entre mes dents, j’ai introduis ma langue le plus loin possible, elle s’est amusée à contracter son bas-ventre pour me barrer le passage. J’ai mordu sa “viande”. Elle a relevé les cuisses pour dégager son œillet. Je l’ai humecté d’un maximum de salive, j’y ai aventuré mes doigts, il était souple, et s’ouvrait comme une motte de beurre.

— Assez joué, c’est mon tour.

Elle s’est emparée de ma queue qu’elle a vigoureusement branlée, sucée, tout en pétrissant mes couilles. Elle l’a prestement recouverte d’un préservatif qu’elle avait préparé discrètement. J’étais allongé sur le dos, elle s’est enfilée sur moi et m’a chevauché. J’avais l’impression qu’elle me branlait à la main, tant elle serrait et desserrait tour à tour les muscles de son vagin. Je n’ai pas tardé à jouir, elle a continué à me branler, elle voulait me vider jusqu’à la moelle de mes os.

J’étais épuisé. Elle se rhabillait, c’est à dire se paraît à nouveau de son entrelac de rubans. Voyant que je tardais à me relever, elle est revenue à moi :

— C’est mou tout ça, c’est rien qu’du gras. La prochaine fois, je te ferai faire de l’exercice. La baise, faudra qu’tu la mérites.

Elle tâtait mes biceps maigrichons et les bourrelets de graisse de mes hanches. Je me suis rhabillé, elle m’a raccompagné à sa porte. Et juste au moment d’ouvrir, elle m’a sussuré d’une voix sucrée :

— Tu r’viendras mon chou?

O surprise, elle m’a serré contre elle et a enfoncé dans ma bouche une langue aussi active et musclée que le reste.

Dans la rue, je titubais, tout étourdi de fatigue et du souvenir de son baiser d’adieu inattendu.

Conclusion générale : Très bonne adresse pour changer des câlins. Prix élevé pour 42 minutes mais prestations originales et musclées. Accueil : surprenant. Peut-être différent pour les habitués. Propreté des lieux : très bonne. Propreté de la personne : excellente. Douche et rapports protégés.

Tamil Nadu (Inde), Décembre 2007, au temple.

C’était un temple peu fréquenté des touristes, situé dans un quartier pauvre au cœur d’un labyrinthe de ruelles sans nom et encombrées d’ordures. J’ai fini par l’atteindre après avoir demandé plusieurs fois sa direction.

J’ai d’abord caressé longuement du regard les seins roses et gonflés des déesses et des danseuses qui s’ébattaient aux différents étages de l’énorme bâtiment qui constituait l’entrée monumentale. Les figures de stuc étaient peintes de couleurs criardes, mais grâce à cela, on pouvait les distinguer de loin.

Au centre de la grande cour rectangulaire que je devais bien sûr traverser pieds nus, se dressait le temple. C’était comme une pyramide bâtie en pierres ocres, elle aussi décorée d’une multitude de statues probablement plus anciennes. Mais c’étaient les mêmes seins ronds et les mêmes cuisses dodues qui occupaient les frises à tous les étages. La lumière déclinante mettait en valeur les formes voluptueuses et leur donnait une couleur cuivrée, comme celle de la peau de beaucoup de femmes du pays.

Je pensais avoir vu le principal, mais je suis entré néanmoins par routine touristique dans un dédale de salles obscures, encombrées de meubles à l’abandon. Plus j’avançais, plus les couloirs se faisaient étroits et l’atmosphère étouffante. Les odeurs d’huiles brûlées, de fleurs pourrissantes et de transpiration humaine prenaient à la gorge. Dans chaque petite chapelle, les fidèles offraient des fleurs aux prêtres qui en échange marmonnaient des prières et décoraient leurs fronts de poudres colorées.

“What is your name?” “Valcour”

Sacrifiant au rituel j’ai donné quelques roupies pour reconnaître mon nom au milieu des invocations à Shiva et mon front s’est retrouvé décoré après l’échange de nombreux saluts.

Alors que j’attendais mon tour au milieu de fidèles pour entrer dans la salle suivante, un jeune prêtre au crâne complètement rasé m’a attiré dans un couloir discret.

“Strong man, need you,???, fertility,???”

Son anglais était difficile à comprendre. Il a rejoint un petit groupe de quatre femmes en sari qui attendaient bycasino giriş à l’entrée d’une chapelle tout juste éclairée par une dizaine de bougies. La statue de pierre noire, imposante, était décorée de fleurs, de tissus colorés et de pacotille.

Un homme nous a croisé qui sortait en se rajustant comme s’il venait d’uriner. Une femme était au centre de la chapelle, debout face à la statue, elle relevait son sari comme si elle voulait lui montrer son sexe. Le prêtre avait parlé de “fertility”. Peut-être était-elle en train de frotter son sexe nu à un lingam (gros cylindre de pierre terminé par un hémisphère, et qui symbolise le phallus). La femme poussait de petits cris comme si elle voulait contenir sa jouissance. Puis elle s’est rajustée, elle a donné ses roupies en échange d’une bénédiction.

“Fertility, you now, your turn”.

Au pied de la statue, il n’y avait pas de lingam, mais une femme, assise sur une banquette de pierre, complètement enveloppée de tissus noirs et décorés de bijoux dorés. Seul son visage cuivré en émergeait. Ses sourcils étaient noirs et brillants et ses lèvres colorées de rouge vif.

“Living goddess, blind. … Parvâti, goddess Parvâti”

Ses pupilles bougeaient en tous sens lorsqu’elle ouvrait les yeux. Elle était sans doute vraiment aveugle et avançait ses lèvres à hauteur de ma braguette. Le prêtre m’a fait signe de la défaire, et j’ai glissé mon sexe entre les lèvres qui l’attendaient pour un curieux culte de la fertilité. Je n’ai pas refusé l’aubaine. Elle m’a très habilement sucé le gland. Sa langue et ses lèvres expertes faisaient merveille. Ses mains pressaient mes couilles avec délicatesse et fermeté, au rythme des caresses de sa langue. Un ou deux doigts se glissaient jusqu’à l’anus et me massaient la prostate au passage.

Elle n’a pas tardé à recevoir en récompense de ses efforts le flot crémeux de mon foutre. Elle m’a soigneusement nettoyé le gland de sa langue, mais je ne l’ai vue ni avaler ni cracher. Sans doute le gardait-elle pour en faire profiter les femmes qui attendaient derrière moi.

“Money please”

J’ai donné 10 dollars, le prêtre était enchanté et il a multiplié les bénédictions en mon honneur.

“To morrow, boum-boum” et il frappait son poing fermé dans la paume de l’autre main de manière suggestive.

“Better gal, for you, come again, another gal”

J’y suis retourné. Il m’a demandé d’avance 30 dollars et m’a emmené par les couloirs étroits dans une autre chapelle dont il a fermé derrière nous la lourde porte avec une énorme clef. Le long des murs s’alignaient une dizaine de lingams, qui suintaient d’huile. De la pénombre, émergeaient les grosses fesses blanches d’une femme qui attendait d’être prise en levrette. Ce n’était pas la déesse réincarnée de la veille, mais certainement une femme du Nord vue la couleur de sa peau. Ses fesses, ses cuisses et ses mollets étaient seuls visibles. Sauf l’arrière-train, elle était complètement recouverte d’un grand tissu bleu très sombre, qui donnait à la scène une allure de messe mortuaire ou satanique, comme Clovis Trouille en a peintes.

Le prêtre lui a fait écarter les cuisses et cambrer le dos pour que ressortent ses fesses et pour me faire admirer son buisson dense de poils noirs. Il a commencé à la branler sans délicatesse et m’a montré ses doigts luisants:

“She, ready, for you”.

Je me suis agenouillé (comme il se doit dans une chapelle) et je l’ai moi aussi caressée, mais avec la douceur dont je fais toujours preuve avec les femmes. (Avis aux lectrices). Des gémissements significatifs se sont faits entendre malgré le drap qui la recouvrait.

Entre ses fesses un anneau d’argent permettait d’extraire de son anus une sorte de bouchon, qui avait pour fonction de m’interdire cette voie. Mais l’autre était déjà suffisamment alléchante. Sa chatte jutait abondamment. Mes doigts sentaient bon la sueur, la cyprine, l’urine (un soupçon) et les fragrances épicées de sa peau d’indienne. Pas le moindre relent de savon ou de déodorant.

Je l’ai enfilée sous les yeux attentifs du prêtre qui faisait peut-être une étude de sexologie comparée (pourquoi pas?). Elle était délicieusement étroite, ce qui était une bonne surprise, alors que je m’attendais à un tunnel autoroutier, vu le volume de ses fesses. Un très bon coup.

Pendant que je la pistonnais, le prêtre se tripotait. A peine étais-je ressorti du ventre enchanteur, et sans laisser à la femme le temps de reprendre son souffle, il l’a brutalement enfilée, et s’est mis à la baiser sauvagement en lui assenant sur les deux fesses des claques magistrales. Elle criait mais ce n’était pas de plaisir. Il riait de ma timidité, et me montrait comment j’aurais pu faire. Il m’a encore béni, il m’a demandé un “tip” supplémentaire et m’a proposé de revenir le lendemain.

“Another girl, very fresh, full night”

Mais je devais m’envoler pour la Thaïlande le lendemain matin très tôt. A l’occasion d’un prochain voyage, je ne manquerai pas d’y retourner.

“Very fresh, full night”, ces mots continuent de traverser mes rêves.

Conclusion générale : Très bonne adresse dans le genre insolite. Prix très modique. Accueil : aléatoire. Propreté des lieux : médiocre, comme dans tous les temples. Propreté des personnes : difficile à évaluer. Rapports non protégés, mais pas de problèmes.

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Lucile

Posted on August 29, 2024

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Ass

Nous venions de nous installer définitivement dans le village et j’avais été inscrire notre cadette à l’école communale, c’est à cette occasion que je croisais Lucile.

Ce que remarquais en premier chez ce petit bout de femme blonde, d’environ quarante ans, ce fut ses yeux bleus, et je fus tout de suite attiré par elle.

Le week-end suivant à la fête des vendanges où j’avais emmenée mon épouse et notre petite Mylène, celle-ci me désigna une petite gamine blonde en déclarant « c’est ma copine Irène, tiens et sa maman est là bas! » suivant la direction qu’elle indiquait quelle ne fut pas surprise de découvrit qu’il s’agissait de cette jeune femme qui avait attiré mon attention quelques jours auparavant.

Les deux fillettes filèrent ensemble, à l’évidence, malgré leur différence d’âge, elles s’étaient liées d’amitié au cours de cette première semaine de classes. Mon épouse me dit que nous devrions faire connaissance des parents de la petite copine de notre fille, j’approuvais car je cherchais le moyen de m’approcher de cette jeune femme qui m’avait tapé dans l’œil.

– Bonjour, nous sommes les parents de Mylène…

– Ah, oui, il me semblait bien vous avoir reconnu, vous vous souvenez, nous étions ensemble au secrétariat, il y a quelques jours.

– Maintenant que vous le dite (mentis-je), oui effectivement… Voici mon épouse Fran… »

– Comptez-vous participer au conseil d’école? »

Ma femme me regarda et enchaîna :

– Bob?

– Oui j’ai l’intention de m’investir dans la vie associative du village, mais comme nous sommes nouveaux, je ne sais pas…

-Justement, il y a une réunion d’information demain soir, à la sortie des classes, c’est l’occasion…

– Bien, j’irai, à demain alors .

– À demain alors monsieur …

– Bob, mon prénom, enfin on a pris l’habitude de ce diminutif »

– À demain Bob, au revoir madame…

– Moi c’est Fran, ajouta dans un sourire ma femme,

– Et moi c’est Lucile, dit elle avant de nous laisser.

– Sympathique cette Lucile

– Oui pour un début, si tous les gens sont aussi agréable, tu vois nous serons rapidement assimilés! »

Le lendemain à 16h30 je retrouvais Lucile devant la grille de l’école.

-Entrons, me dit-elle, tout en faisant de signes aux enfants qui venaient de grimper dans le bus scolaire qui les ramenais chez elles.

Pendant la réunion qui se tenait dans une des classes, je ne cessait d’observer Lucile, discrètement, il va de soit.

Lorsque nous sortîmes, je lui dit au revoir, en ouvrant la porte de ma voiture, et comme je la voyais continuer à pieds, je lui proposais de la raccompagner.

– C’est gentil à vous … Mais cela va vous rallonger…

– Il n’est pas si tard, et je ne pense pas que cela soit si loin, puisque vous avez fait le chemin à pieds pour venir! »

– Non c’est vrai.

Lorsqu’elle s’assit, sa robe légère remonta assez haut, j’en profitais pour mater discrètement ses cuisses blanches.

Elle m’indiqua le chemin, me précisant qu’il s’agissait effectivement d’un « chemin, herbeux, mais très praticable ».

Il quittait le centre du bourg et comme nous traversions un petit bois, elle me dit :

– Vous ne voulez pas vous arrêter un instant? »

Sitôt dit, sitôt fait, je coupais le moteur.

– Bob, je ne cherche pas l’aventure, mais j’ai remarqué que vous, vous intéressiez à moi, vous ne cessez pas de regarder dans ma direction… »

– Ben… Disons, pour être franc, que… Comment dire? Je n’ai pas l’habitude de ce genre de situation. Je… Je suis attiré par vos yeux. Oh ne croyez bycasino pas que je collectionne les aventures, mais je vous trouve quelque chose d’indéfinissable qui me fait un effet… »

– Je suis très quelconque… C’est très gentil à vous, mais je ne crois pas… »

Elle était très près, je m’enhardis, m’étonnant moi même, et l’attirais contre moi. Elle n’esquissa aucune résistance, si bien que rapidement je posais mes lèvres sur les siennes.

Sa bouche s’ouvrit aussitôt, nos langues se cherchant…

– Désolé je…

– Je suis aussi responsable que vous Bob. Je, j’ai tellement besoin… Il y a déjà plusieurs mois, j’ai surpris mon mari dans les bras… enfin disons dans les bras, d’une de mes anciennes collègues. Oh je ne cherche pas à me venger, mais le fait est que je manque de tendresse… Car je lui ai fait savoir que… que je ne voulais plus qu’il me touche! »

– Lucile, je n’ai jamais trompé ma femme, mais je ne sais comment expliquer, dès la première fois que je vous ai aperçu, j’ai eu envie de… De vous connaître, d’être avec vous

– Soyons raisonnables… Laissons nous un peu de temps, Bob. Pour être franche, moi aussi je ressens quelque chose qui émane de vous et qui m’attire.

Je remis le moteur en marche et nous continuâmes . Quelques centaines de mètres plus loin, elle m’indiqua une maison,

– C’est ici que nous habitons , vous vous situez?

– Oui, je vois…

– Bon alors rentre bien » et elle posa un baiser furtif et sage sur ma joue, et tout en sortant ajouta « J’ai remarqué que vous alliez souvent seul au supermarché… Demain matin vers 10h j’y serai! »

Elle claqua la portière, et je repartis.

J’observais la pendule, impatient de voir l’heure tant attendue approcher. À moins dix, je sortis la voiture du garage et me mis en route vers la Supérette. Je fus surpris d’apercevoir la silhouette de ma nouvelle amie. Elle marchait sagement le long de la route tirant un petit caddie, et le spectacle était prometteur car la lumière du soleil qui traversait sa courte robe légère mettait en valeur une jolie paire de cuisses …

-J’aimerais que nous marchions un petit peu, pour parler dit-elle comme je lui ouvrais la portière.

-Tout de suite, ou après les courses?

– Avant serait peut-être plus indiqué, si l’on veut éviter que nos provisions chauffent » Logique

– Où, alors »

– Prends le chemin sur la droite, il est carrossable et peu fréquenté à cette époque.

Bon pensais-je en moi même… Au bout de deux, trois cents mètres elle dit :

– Arrêtes toi ici, désignant une amorce de chemin sur notre gauche. Je m’empressais d’obtempérer, ravi du tutoiement.

Nous laissâmes la voiture, et sitôt que nous fûmes côte à côte elle prit ma main dans la sienne et m’entraîna sur un petit sentier… Après une minute de marche, alors que nous étions hors de vue de l’auto, elle se plaqua contre moi. Je la pris dans mes bras et l’embrassais avec une fougue qui se révéla « partagée ».

– Je voulais juste te montrer cet endroit… Comme tu vois ce n’est pas très loin de chez moi … Nous pourrions nous y retrouver cette après-midi, si tu peux te « libérer »

Et comment que je trouverais un motif!

Nous revînmes à la voiture et fîmes nos courses respectives ensemble, passant simultanément à deux caisse différentes.

De retour à la maison, j’expliquai à ma femme que j’irai bien m’entraîner un chouïa après manger, il y avait longtemps que je n’avais pas sorti mon VTT, et que comme j’envisageais de participer à une randonnée dans une quinzaine bycasino giris de jours il serait bon d’y songer ; sachant qu’elle avait horreur du vélo, j’ajoutais perfidement :

– Pourquoi n’irions nous pas en semble?

– Non ça ne me dit rien, et puis il y’a trop de côtes par ici

– Bon tant pis. J’essaierai de faire un bonne vingtaine de kilomètres

Sortant la carte IGN du coin, je fis mine d’étudier un parcours.

Dès notre traditionnel café avalé, je me mis en tenu et après un bisou à Fran je m’élançais, direction la petite clairière que m’avait fait découvrir Lucile.

Elle m’y attendait, assise en tailleur sur un plaid plié. Je me dis que cela était de bonne augure, d’autant qu’elle se releva et après une brève étreinte elle ramassa le plaid tout en disant

– Tu devrais déplacer ta bicyclette, enfin la planquer un peu à la vue d’éventuels promeneurs.

J’e m’exécutais ; elle me tendit sa main libre et m’entraîna à couvert dans un petit espace dégagé entouré presque de toute part de buissons.

Elle étendit le plaid sur l’herbe et s’allongea. J’en fis autant.

Nous commençâmes à flirter, les caresses succédants aux baisers…

Je m’enhardis et, déboutonnais le haut de sa robe, elle ne portait pas de soutien-gorge. Sa poitrine était petite, mais bien formée. Je baisais ses seins, m’attardant sur les tétons qui ne tardèrent pas à durcir au contact de mes lèvres.

Comme je la sentais frémir, je glissais ma main droite sous sa courte robe, entre ses cuisses, jusqu’à sa motte… Tout en continuant à téter un sein, j’insinuais ma main dans sa petite culottes, flattant sa toison, mais surtout cherchant à dégager sexe…

Elle écarta ses cuisses pour me laisser progresser, rapidement mon majeur s’engagea entre ses lèvres humides dans une chatte déjà trempée …

Inutile de préciser que mon sexe était en émoi, que dire en pâmoison! À ce point lui retirer sa culotte devenait impératif. Elle m’aida de son mieux en se tortillant et soulevant ses fesses.

L’opération terminée j’abandonnais ses seins et enfoui ma tête sous sa robe relevée, elle ouvrit largement ses cuisses et j’avais, offert à mon regard, l’ouverture rose nacrée de sa moule bien ouverte j’y posai mes lèvres et commençais par un baiser appuyé sur ce sexe avide d’amour.

Lorsque ma langue s’insinua à la recherche de son clitoris, son corps se tétanisa et elle adopta une position de reins bien cambrés me plaquant sa foufoune sur le visage.

J’avais vite dégagé son petit clito et le suçotait avidement tel un nourrisson tétant le sein maternelle. Je l’entendais haleter des « Oh Oh, Ah ah aaah! » qui bien que discrets se faisaient de plus en plus fort. J’alternais succion et large coups de langue, lapant la liqueur de son plaisir.

– Viens , viens dans moi maintenant.

Je résistais à son appel, car le plaisir que je lui procurais de toute évidence m’excitait d’autant plus que j’avais conscience qu’elle était ravie de se faire brouter la chatte.

Lorsque je la sentis à bout, je me dégageais, et mon short cycliste à peine baissé à mi cuisse, l’empalais littéralement sur mon dard turgescent.

Me maintenant à genoux, je la limais lentement, lentement .

Les deux mains à plat sur le sol, les bras en extensions, comme pour une séance de pompes, je la pistonnais maintenant amplement, accélérant insensiblement mon rythme.

Sentant que je n’allais plus pouvoir me retenir plus longtemps, je fléchissais jusqu’à ce que nos visages se touchent pratiquement, ma bouche cherchant sa bouche. C’était bycasino giriş un test : ma femme me refusait toujours que je l’embrasse après un cunnilingus. Lucile au contraire m’ouvrit ses lèvres, et sa langue fouilla ma bouche.

C’était la fin. Je l’embrochais bien à fond et lâchais ma semence. À longs traits…

Le dernier jets expulsé, je m’écroulais sur elle.

Lorsque je repris conscience, elle n’avait pas bougé. À l’évidence nous nous étions assoupit l’un et l’autre, l’un sur l’autre, l’un dans l’autre.

– Tu es merveilleux me chuchota-t-elle au creux de l’oreille. … Jamais… C’est la première fois qu’on.. . Que je… Ta bouche… C’est doux c’est bon… Tu m’as … J’étais aux anges, je planais … »

– Alors, si tu as été heureuse, je suis comblé. Ma conception de l’amour physique, c’est de donner. Donner du plaisir à l’autre.

– Mais moi, je ne t’ai rien donné!

– Oh que si, je te sentais confiante, je sentais que tu étais… »

– Heureuse! Oh oui j’étais heureuse. Heureuse qu’un homme s’intéresse à moi, me désire avec une telle intensité. Crois moi je n’ai jamais connu une telle sensation avant…

Tout en parlant, nous nous étions séparés, et étions maintenant allongés l’un contre l’autre, regardant tous les deux le ciel à travers les branchages, nos doigts entrelacés.

Elle se releva et s’assit, j’en fis autant. Elle contemplait maintenant mon sexe englué de sperme, qui retrouvait peu à peu une belle raideur. Je souris, plutôt pour cacher ma honte. Elle s’accroupit et avant que je ne réalise ce qu’elle faisait , elle avait littéralement avalé mon gland. Je me laissais aller me rallongeant. Elle s’insinua entre mes cuisses et commença alors une fellation. C’était la première fois qu’on me faisait spontanément une pipe. Elle devait sentir le plaisir qui me gagnait, elle s’appliquait, car si elle ne devait pas avoir pratiqué, son inspiration semblait sans limite. Pour une femme mariée présentant tous les aspects de la gentille épouse et de la maman aimante…

Je n’osais rien dire, me bornant à lui caresser les cheveux, espérant qu’elle comprendrait par là que sa gâterie me « faisait » plaisir. Elle s’activait, avec « art », je me demandais si c’était bien sa première pipe ou si sa dextérité était le fruit d’une longue pratique. Personnellement je n’avais jamais osé exigé de Fran qu’elle me pompe le dard.

Au moment ou je lâchais mon foutre, le chibre enfoncé à fond dans sa bouche, elle ne chercha pas à se dégager. C’était bon de jouir, mais c’était encore bien meilleur de la sentir avaler mon sperme jusqu’à la dernière goutte!

Quatre, cinq, six giclées… Apaisé, je la libérais et la remerciais pour le bonheur qu’elle venait de me procurer. Elle reprenait son souffle, déglutissant le foutre de son amant. Enfin au bout de quelques secondes elle dit:

– Tu sais c’est la première fois pour moi… Je voulais te faire plaisir… Tu as failli m’étouffer, c’est spécial comme goût, mais si tu aimes je m’y ferais.

Ce n’était donc pas une salope

– Lucile, je voudrais…

– Oui?

– Non, je ne sais plus… Si je te dis que je t’aime… »

– Mais moi aussi j’éprouve de l’am…

– C’est extraordinaire alors »

et ne pouvant résister je l’embrassais longuement »

Nous restâmes allongés l’un contre l’autre profitant de cette chaude après midi de fin septembre. Vers 16h elle me dit qu’elle devait rentrer préparer le goûter d’Irène qui ne tarderait pas à rentrer de l’école.

– Je peux t’appeler chez-toi? Au téléphone je veux dire.

– Euh oui… Si ma femme est là, je te dirais un truc du genre « Non cela ne m’intéresse pas , merci! » et je te rappellerais plus tard dès que je serais seul, d’accord? »

– Oui, et si je tombe sur elle, je trouverais un truc! »

Elle le trouva. Nous nous sommes souvent « retrouvés » par la suite!

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Apprivoiser la Beauté – Chapitre 01

Posted on August 21, 2024

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Amateur

Elle était allongée sur quelque chose de doux. Un lit. Les doux draps la dorlotaient dans leur chaleur douillette. C’était si confortable qu’elle pensait qu’elle dormait encore, mais la sensation du lit confortable qui amortissait son dos lui disait que c’était réel. Comme elle bougeait, elle a entendu un cliquetis. Comme le son du métal sur le métal. Le doux tintement des chaînes…

Elle se redressa brusquement pour revenir dans le monde éveillé, son spasme de mouvement faisant trembler ses liens. Quelqu’un l’avait enchaînée au lit comme une prisonnière.

Elle prit une profonde inspiration pour crier à pleins poumons, mais le son mourut dans sa gorge alors qu’un éclair de bon sens éclipsait brièvement sa panique. Quel était l’intérêt de crier quand la seule personne qui pouvait entendre était son ravisseur?

Quel genre de personne kidnappe quelqu’un et l’enferme dans une cave? Où diable était-elle? Tout ce qu’elle pouvait voire était l’obscurité, si complète qu’elle pouvait presque la toucher. Seule la sensation du lit et la résistance de ses chaînes lui donnaient un sens de l’orientation.

Sa poitrine se serra de peur et son cœur se mit à battre comme un tambour hors de contrôle. Elle était suffisamment lucide pour reconnaître qu’elle portait encore des vêtements, mais cela n’avait jamais arrêté personne, et une longue et désagréable liste de scénarios horribles défilait dans son esprit paniqué.

Elle tremblait de peur, faisant s’entrechoquer ses chaînes. Elle ne pouvait rien faire d’autre qu’attendre que son kidnappeur se présente. Elle essayait de ne pas penser aux choses horribles qu’il lui ferait – ou qu’il lui a peut-être déjà faites – mais elle sentait qu’elle était déjà pour ainsi dire morte.

Elle a fermé les yeux et les a rouverts, ne voyant aucune différence dans ce qui était visible. Puis elle les referma et essaya de se reposer, mais le stress de sa situation lui ôtait toute envie de dormir. Comme elle n’était pas fatiguée, son esprit s’est remis à courir.

Comment avait-elle atterri ici? Elle a fouillé dans sa mémoire pour trouver le moindre souvenir des dernières 24 heures. Des images floues d’une fête coûteuse sont apparues. Elle avait été à d’innombrables fêtes auparavant, mais celle-ci était plus chic que d’habitude. Un cocktail?

Elle se souvenait de beaucoup de visages, mais d’aucun avec clarté. La personne qui l’avait kidnappée devait être à la fête, mais on ne peut pas mettre quelqu’un dans un véhicule et partir sans qu’un tas de badauds le voient et appellent les flics.

Des moyens plus subtils de commettre l’acte lui sont venus à l’esprit. Peut-être qu’il – en supposant qu’il s’agissait d’un homme – avait corsé sa boisson, puis l’avait galamment aidée à monter dans sa voiture et était parti avec elle sur le siège passager. Personne n’aurait pensé que le chevalier blanc prenait en fait la princesse en otage.

Elle gémit en réalisant qu’elle se laissait un peu trop aller. Si le type était sexy et portait une Rolex, elle l’aurait suivi dans une belle pièce privée de son propre chef, loin des témoins et des bons samaritains potentiels.

Le fait qu’elle se souvienne à moitié de son habitude de coucher avec de riches inconnus assombrit son humeur déjà morose, mais la vérité est qu’elle ne s’en souvient tout simplement pas. Elle avait assisté à tellement d’événements aussi clinquants qu’elle n’avait aucun moyen de savoir si elle mélangeait les souvenirs pour combler le vide.

Ses menottes étaient en cuir souple et étonnamment confortables. Elles étaient juste assez serrées pour l’empêcher de glisser ses mains à travers, mais assez lâches pour ne pas laisser de marques. La configuration serait coquine si elle n’était pas contre sa volonté.

Un bip électronique, suivi du cliquetis d’une serrure, a fait naître un sentiment de peur dans son cœur. Il a été suivi par le grincement d’une porte sur un ensemble de charnières non huilées, puis par le bruit du métal contre le métal lorsqu’elle a été claquée.

Quelqu’un était dans la pièce avec elle.

“Qui est là?”, a-t-elle crié dans l’obscurité.

Pas de réponse.

Elle replia ses jambes et se mit en boule pour se protéger, tremblant de peur alors que les pas de son ravisseur s’approchaient dans l’obscurité. Le fait de ne pas pouvoir le voir rendait la peur encore plus grande alors que le bruit des chaussures sur le tapis se rapprochait.

Tapis? Qui prendrait la peine de faire poser de la moquette sur le sol d’un sous-sol?

Elle entendit les pas s’arrêter au pied du lit et regarda profondément dans l’obscurité, essayant de discerner la silhouette de son kidnappeur. Elle a vaguement distingué une grande silhouette masculine aux épaules larges et aux bras puissants à quelques mètres de là. Il était là, debout, à l’observer comme une visite paranormale, et son silence immobile la terrifiait encore plus.

“Qu’est-ce que tu veux?!” demanda-t-elle, la peur transformant sa voix en un cri.

Son ravisseur a grimpé sur le lit et a commencé Ataşehir travesti à ramper vers elle. Son rythme cardiaque monta en flèche et elle s’efforça de s’éloigner de l’ombre imposante. Il avait laissé ses chevilles libres, et alors qu’il se rapprochait d’elle, elle lui donna un coup de pied.

D’une certaine manière, il était prêt pour ça, il a attrapé son pied et l’a fait tomber sur le lit. Elle a donné un coup de pied avec son autre pied et la même chose s’est produite. Soudain, il l’a tirée vers lui par les chevilles et lui a écarté les cuisses.

Une froide poussée d’adrénaline inonda son cœur alors que ses craintes les plus profondes se réalisaient. Elle savait parfaitement ce que son ravisseur s’apprêtait à faire, et elle se débattait de toutes ses maigres forces, déterminée à éviter l’inévitable. Ses chaînes cliquetaient violemment tandis qu’elle se débattait et se tortillait, tandis que son futur violeur se mettait en position.

Elle le sentit soulever l’ourlet de sa robe, une robe de soirée au genou qu’elle avait louée pour cinquante dollars. Ce petit fait surgit sans crier gare des profondeurs de sa mémoire avant de refaire surface tandis que son ravisseur tirait l’ourlet encore plus haut.

Son cœur battait si fort qu’il risquait d’éclater dans sa poitrine, et elle respirait si fort qu’elle risquait de s’épuiser avant l’événement principal. La force se vidait de ses muscles alors que la futilité de la résistance l’emportait sur sa volonté de résister qui diminuait rapidement.

Ses doigts étaient froids, donnant des frissons qui rampaient comme des araignées sur la peau de ses cuisses nues tandis qu’il se frayait un chemin jusqu’à sa précieuse féminité. Elle a tremblé lorsqu’il a trouvé son string en dentelle, taquinant sa chatte à travers le tissu tandis qu’il affirmait sa domination sur son corps.

Les préliminaires ont torturé ses émotions encore plus que le viol qu’elle savait à venir. Il y avait quelque chose dans son toucher qui faisait frissonner le bas de son corps, malgré le fait qu’elle n’avait absolument pas consenti à tout cela. Son vagin anticipait la pénétration à venir et se préparait à dérouler le tapis humide.

Son bourreau a posé sa main sur sa cuisse et a continué à frotter à travers le tissu de sa culotte. Elle essaya de fermer ses jambes, mais il était fermement logé entre elles et lui interdisait de résister, même si un filet d’excitation liquide trempait son entrejambe. Elle était mouillée, et il le savait.

Il enfonça ses doigts dans sa culotte, de sorte que ses jointures frottaient contre sa fente, et elle se tortilla à la sensation importune qu’il touchait sa chatte. Elle ne pouvait pas supporter son impuissance, même si le viol qui se rapprochait de plus en plus la remplissait d’une agonie mentale sexualisée.

Son ravisseur et futur violeur a baissé sa culotte d’une main tandis que l’autre se posait confortablement sur sa cuisse nue. Le tissu a résisté à la force de son mouvement de traction, mais ses cuisses étaient écartées, ce qui rendait impossible de l’enlever sans le déchirer.

La déchirure violente du coton lui déchire le cœur encore plus que sa peur aiguë. Elle savait ce qui allait se passer, et elle ne pouvait pas supporter cette attente torturante plus longtemps. Une part croissante d’elle souhaitait qu’il la baise et qu’on en finisse.

Son ravisseur était presque prêt à l’obliger. Elle sentit quelque chose se presser contre les lèvres de sa chatte non surveillée, et une nouvelle vague de frissons sexuels mêlés de peur et d’excitation involontaire l’envahit. Elle a pris une profonde inspiration et s’est endurcie alors que son violeur la pénétrait.

Sa mâchoire s’est ouverte dans un cri silencieux de choc et de douleur. Il était énorme. Sa circonférence à elle seule écartait les murs, forçant la chair de son tunnel féminin à s’étirer pour accueillir cet intrus masculin grossier. Le cocktail de peur et d’excitation avait rendu sa chatte trempée, et le flot abondant de sucs féminins lubrifiait le pénis de son violeur lorsqu’il s’enfonçait en elle.

Jusqu’où pouvait-il aller? Elle avait déjà pris des hommes bien musclés, mais celui-ci enfonçait au moins vingt centimètres en elle. Elle a senti le bout de sa bite embrasser l’arrière de son passage vaginal, appuyant directement sur son col de l’utérus.

Puis il l’a baisée.

Chaque coup était long et vigoureux. Il la baisait à un rythme lent, glissant doucement d’avant en arrière et d’avant en arrière dans sa chatte serrée et humide. À travers l’obscurité, elle pouvait l’entendre grogner furieusement à chaque poussée vers l’intérieur.

Ses chaînes s’entrechoquaient sous la force de ses mouvements de poussée, tandis que l’élan de son amour à sens unique poussait son corps d’avant en arrière contre les draps. Sa chatte avait l’impression d’être remplie par une bite de cheval, et elle pouvait presque l’imaginer comme un étalon élevant une jument de concours.

Il faisait trop sombre pour Ataşehir travestileri voir son violeur, elle était donc libre de réimaginer la rencontre pour la rendre plus facile à supporter. Son agresseur se frottait et glissait contre elle, les contours musclés de son corps puissant se pressant fortement contre sa propre peau délicate et ses courbes féminines. Au moins, son violeur doit être sexy. Pourquoi un homme avec un corps aussi sexy ne pouvait-il pas la séduire normalement?

A quoi ressemblait son visage? Peu importe. Elle se souvenait à peine des visages des différents hommes qui l’avaient ramenée de tous ces bars et soirées. Certaines de ces nuits avaient été plus mémorables que d’autres, mais au moins elle avait dit oui.

Son violeur la baisait plus fort maintenant. La vitesse et le tempo de ses coups s’accéléraient. Elle a même commencé à gémir en synchronisation avec sa baise de plus en plus agressive. Son pénis forçait les parois de son vagin à se dilater, se contracter, s’étirer et se rétrécir de plus en plus vite. Ça faisait vraiment mal d’être baisée par ce type – mais ça ne faisait pas que ça.

Il y avait un picotement indéniable au fond de son ventre, jusqu’aux nerfs de sa chatte. Ce picotement se transformait en une étincelle, puis en un feu de plaisir. Être baisée contre sa volonté l’excitait vraiment. Plus il la baisait, plus sa chatte devenait humide, et plus la poussée de son pénis stimulait ses nerfs sexuels.

Allait-elle vraiment jouir? Était-il même possible d’avoir un orgasme pendant un viol?

Les grognements de son violeur s’intensifiaient également, se transformant en grognements et en grognements excités. On aurait dit un homme des cavernes primitif violant une femelle captive d’une autre tribu pour affirmer sa domination, ou une véritable bête ravissant une demoiselle en détresse. C’était en fait assez chaud d’écouter les sons qu’il faisait, surtout pendant qu’il la baisait si brutalement.

Les bruits qui sortaient de sa propre bouche devenaient également plus forts. Au lieu de petits couinements et gémissements lorsqu’il la baisait, elle commençait à gémir avec un réel plaisir. Les palpitations d’excitation sexuelle dans son ventre s’intensifiaient. Cela l’excitait vraiment.

La sensation a fait irruption, pas seulement dans son vagin, mais dans tout son corps. La peur et le stress de la rencontre, combinés à la stimulation incessante de son pénis, étaient trop forts pour résister. Sa résistance mentale a été noyée par le tsunami d’un orgasme de tout le corps, alors que son corps mince a commencé à se tortiller dans les affres de l’extase involontaire.

Elle pouvait presque imaginer son violeur souriant à travers l’obscurité, un sourire triomphant sur son visage alors qu’il contraignait sa victime à jouir contre sa volonté, ressentant un plaisir indescriptible de la bite non invitée s’enfonçant dans sa chatte.

Et pourtant, il n’a pas manqué un seul battement. Tout au long de ses spasmes de plaisir orgasmique involontaire, il a continué à la baiser avec une vitesse et une puissance maximale, même si sa victime a enroulé ses jambes derrière son dos et l’a serré contre elle. Elle a même mis ses mains enchaînées à contribution pour le caresser.

C’était la meilleure baise qu’elle ait jamais eue, et son désir féminin refusait d’y mettre fin, même lorsque son violeur enfonçait son énorme virilité jusqu’aux couilles en elle et rugissait d’extase. Il a serré ses seins tandis que son bâton masculin de puissance se contractait et pulsait en elle.

Lorsqu’elle sentit les jets successifs de sperme sirupeux jaillir en elle, Maya sentit l’orgasme de tout son corps se transformer en un orgasme vaginal intense, se concentrant sur le plaisir viscéral d’un pénis qui inondait son espace le plus sacré de centaines de millions d’intrus masculins. La chaleur et l’épaisseur de son sperme l’ont fait se tordre dans son emprise tandis que le plaisir assaillait ses sens.

Son violeur se tenait profondément en elle, la remplissant de sa puissante semence, réclamant son corps pour lui-même. Même sans les chaînes qui retenaient ses poignets, elle ne pouvait pas lui échapper, pas avant que son désir bestial pour le sexe opposé ne soit complètement assouvi.

Elle tremblait dans ses bras, se sentant épuisée, conquise et rassasiée à la fois. Plus profondément encore, elle sentait sa chatte se contracter rythmiquement en caressant la bite de son violeur, la trayant pour chaque goutte du précieux sperme qu’elle pouvait donner.

Elle avait presque envie de tirer sa tête vers elle et de l’embrasser, tant la rémanence de l’amour unilatéral qu’il lui avait fait était forte et s’estompait progressivement. Sa chatte était gonflée et rassasiée, remplie d’une épaisse tige de viande humaine et de la puissante charge qu’elle avait libérée en elle.

Le seul bruit que fait son violeur est la respiration lente et lourde d’un homme qui se remet d’une séance de cardio intense. Elle s’est demandé si elle Travesti ataşehir devait prendre le risque de parler, peut-être lui poser une question. Qui était-il? Où étaient-ils? Pourquoi elle?

Avant qu’elle n’ait le courage de lui demander l’une ou l’autre de ces choses, il s’est reculé, retirant son érection de sa chatte douloureuse et remplie de sperme. Elle a ressenti un vide désorientant en bas quand il s’est retiré, et elle a souhaité qu’il reste en elle un peu plus longtemps.

Son ravisseur n’était visiblement pas d’humeur à se blottir contre elle ; il a quitté le lit et elle a entendu ses pas sur le tapis alors qu’il traversait la pièce.

Son cœur se serra alors que la chaleur duveteuse se refroidissait et que les détails horribles de sa situation difficile s’imposaient à nouveau à son esprit. Bien sûr qu’il partait. Elle était sa prisonnière. Maintenant qu’il l’avait baisée, il avait mieux à faire que de tenir compagnie à son esclave sexuelle.

Une paire de rideaux s’ouvrit en grand, inondant la prison d’un soleil éclatant. Elle fut aveuglée par les rayons brillants qui lui écumaient les yeux, et elle enfouit son visage dans les oreillers comme un vampire qui se cache du soleil.

Quand ses yeux ont cessé de lui faire mal, elle a retiré son visage de l’oreiller et a regardé autour d’elle.

Loin d’être un sous-sol miteux, sa prison était en fait une magnifique chambre de luxe. Chaque meuble était fait de bois exquisément sculpté et recouvert de tissus d’ameublement coûteux. Le papier peint était d’un rouge sensuel et couvert de formes blanches en forme de diamant, tandis que les luminaires étaient décorés de filigranes en or.

Le lit sur lequel elle était allongée – et enchaînée – était de grande taille et couvert de draps doux en soie ou en satin. Ses liens étaient fixés à une sorte de grille métallique intégrée au cadre du lit, et même la grille avait un design spécial.

Elle a tourné son attention vers les baies vitrées où se tenait son ravisseur et violeur.

Il mesurait au moins 1,80 m et était totalement nu. Tout son corps était un chef-d’œuvre de beauté masculine, depuis ses bras et ses jambes épais jusqu’à ses pectoraux ondulants et une série d’abdominaux six-pack si durs qu’ils auraient pu être ciselés dans la pierre. Combien d’heures de gymnastique avaient été nécessaires pour obtenir ce corps?

Son cou, fort mais pas trop épais, soutenait le visage à mâchoires carrées d’un homme aux pommettes nobles et aux yeux cristallins perçants. Ses cheveux auburn étaient soigneusement coiffés, comme un modèle pour les costumes d’affaires des hommes, et son visage rasé de près semblait frais et soigneusement entretenu.

Elle fixe l’étranger sans mot dire. C’était l’homme qui l’avait kidnappée et emmenée comme prisonnière dans son luxueux manoir. C’était l’homme qui l’avait enchaînée à un lit et violée dans l’obscurité. Elle ne savait pas si elle devait être fascinée ou effrayée.

Il l’observait attentivement, ses traits ne trahissant aucun indice de ses pensées intérieures. Peut-être attendait-il qu’elle dise quelque chose. Le silence la mettait mal à l’aise, mais elle n’avait pas de mots pour affronter cet homme.

“Tu te souviens de moi, Maya?” a-t-il demandé, sa voix aussi profonde et masculine que le reste de son corps.

Elle a failli jouir une seconde fois au son de sa voix.

“Comment connaissez-vous mon nom?” demanda-t-elle, sa voix tremblante faiblement.

“Je suppose que c’est un ‘non'”, a remarqué son ravisseur.

“Je suis censée me souvenir de vous?” demanda Maya, l’air plus indigné.

“Vous devriez”, a-t-il répondu, “étant donné que nous nous sommes rencontrés hier seulement”.

***

12 heures plus tôt…

Le hall de l’hôtel avait été complètement investi pour la fête et ses légions d’invités de haut niveau. Les meubles avaient été retirés des sols en marbre d’une propreté éclatante et les sculptures en pierre grandeur nature avaient été déplacées sur les murs où elles pouvaient être admirées à la périphérie.

Plus d’une centaine d’invités s’agitent, échangeant des conversations si fortes qu’ils peuvent à peine entendre l’orchestre qui joue à l’arrière. Au-dessus d’eux, un énorme lustre, composé de milliers de cristaux délicatement sculptés, réfractait la lumière à travers le vaste couloir.

C’était une fête pour les élus. Les hommes portaient des smokings coûteux et arboraient des montres de luxe au poignet, tandis que les femmes étaient resplendissantes dans de magnifiques robes de soirée. Leurs cheveux et leur maquillage avaient été soigneusement préparés, et chaque sac à main et sac à main était une marque de luxe.

À l’extérieur, le cortège de voitures transportant les invités vers et depuis la fête était soit des limousines, soit des voitures de sport qui coûtaient plus que ce que les valets gagnaient en un an. Le personnel était également habillé pour l’occasion, avec des serveurs également en smoking et le personnel féminin habillé de manière tout aussi élégante.

Un peu à l’écart du centre de l’action se trouve le bar. Des couples d’invités étaient répartis le long du bar, des femmes et leurs chaperons, des hommes et leurs escortes, des partenaires commerciaux et des collègues échangeant des conversations futiles entre deux martinis.

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Les malheurs de Clotilde Ch. 20

Posted on August 21, 2024

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Non Nude

Cette histoire est basée sur la déchéance d’une femme. C’est violent et difficile à lire pour une âme sensible. Si vous n’aimez pas le genre, vous n’aimerez pas cette histoire, alors inutile de la lire. Ce serait comme commander un gratin aux aubergines dans un restaurant, alors que vous détestez l’aubergine. Vous trouverez le plat dégueulasse, mais ça vous le saviez avant, ben pour cette histoire, c’est pareil. Pour les autres, bonne lecture, car je pense que c’est mon meilleur texte écrit jusque à présent.

Sinon, étant Italien, et arrivé à vingt ans en France, j’ai appris le français parlé, auprès de ma mère qui est française. Par contre pour ce qui est de l’écrit, je l’ai appris à l’école, en Italie, ce qui explique que j’ai pas mal de lacunes. Malgré les correcteurs d’orthographe et les petits trucs de quelques lecteurs, mes textes sont truffés de fautes de grammaires et d’accords, notamment sur le pluriel des verbes, mais aussi de fautes conjugaison. Veuillez m’excuser pour ce souci, que j’améliore à chaque texte. Pour ce que cela rebute, évitez de le lire, si pour vous les accords, la grammaire, la conjugaison, est plus important que le texte. Je remercie pour leur courage ceux qui me pardonne ces fautes, et me lise quand même. Bonne lecture à vous.

Pour finir je ne fais aucunement l’apologie de la violence, ni d’ailleurs l’apologie de quoique ce soit. Le viol et tout ce qui est décrit dans ce texte est sévèrement puni dans toutes les démocraties de ce monde, ce qui est une très bonne chose, que j’approuve et soutien complètement. Ce n’est même pas le résultat d’un fantasme, juste une histoire que j’ai eus envie de raconter. En essayant de la rendre le plus proche possible de ce qui est malheureusement une réalité. Je dirais même que ce que font vivre les mafias albanaises ou tchétchène par exemple sont souvent bien pire, avant que les malheureuses arrivent en Europe de l’Ouest. D’ailleurs, l’afflux de prostituées ukrainienne sur le sol des pays d’Europe accueillant des réfugiées, n’est à priori pas toujours volontaire. Elles ne se sont pas dit: super, Poutine nous attaque, allons nous prostituer à Paris, Rome, Londres ou Berlin. Mais cela la télé n’en parle pas, alors tout le monde s’en moque… Comparée à la réalité, mon texte est presque doux, comparé à la violence, la noirceur et la dépravation de notre monde.

Assurez vous donc d’aimer ce type d’histoire, d’avoir le cœur bien accrocher. C’est violent, âpre, dérangeant, très noir. Mais surtout il n’y a aucun espoir pour les protagonistes, ni aucune douceur. Ce chapitre et les suivants seront dans le même style et du même type que les précédents. Si cela vous a gêné, ne lisez pas ce chapitre. Tous les personnages de cette histoire sont majeurs.

Clotilde : Victime principale de cette histoire. Trente-deux ans. Blonde aux yeux verts, elle a de gros seins : 80 bonnet E. Mince, avec une chute de reins très prononcés, mettant en valeur un petit cul bombé, en forme de cœur, aux fesses fermes.

Ninon: Vingt-trois ans. Blonde aux yeux bleus. Un vrai canon aux gros seins et au cul d’enfer. Ninon à presque le même corps que Clotilde.

Emma : Dix-huit ans. Blonde aux yeux verts. Elle est le sosie de Clotilde aussi bien de visage que de corps, mais avec quinze ans de moins. Ainsi que des seins aussi gros, un cul aussi beau, mais le tout avec la fermeté de sa jeunesse.

Géraldine : Rousse aux yeux marrons, vingt-quatre ans. Seins 90 B, un joli corps. C’est une belle infirmière qui s’occupe de Clotilde à l’hôpital.

Greg et Meyer : Collègues de travail de Clotilde. C’est eux qui la viole et en font leurs esclave en premier.

Jérôme : Ami de Greg et tourmenteur de Clotilde.

L’américain : Chirurgien travaillant pour une mystérieuse organisation. C’est lui qui s’occupe de Clotilde pour la remettre en état.

Pierre : Frère de Clotilde, qui l’a agressée sexuellement quand Greg la lui a offert.

Jeff : Mari de Clotilde et père d’Emma. Il viole et dépucelle sa fille.

Boris : Directeur d’un hôtel de passe, appartenant à la mystérieuse organisation.

Ninon :

Elle vient de partir, avec ses quatre kidnappeurs. Ils roulent dans un van, elle est à l’arrière avec trois d’entre eux. Ils passent le temps en la violant. Ils font de nombreux arrêts pour changer de chauffeur, afin que celui qui conduit ai le temps de la prendre. Ninon n’a aucune idée de l’endroit où ils vont, mais une seul certitude, ses viols y continueront. Alors au fond du désespoir, la belle professeure ne peut faire qu’une chose, pleurer.

Moi :

Depuis cet après-midi, quinze heures, je suis de retour chez Greg. Avec bien entendu, Meyer et Jérôme. Comme toujours, ils m’ont baisée et enculée toute la journée, jusque à dix-neuf heures. La seule différence avec les autres fois, c’est que j’ai souris, simulé, demandé… Par contre là, il me font me doucher. Je dois me laver entre deux sodomie de leurs part. Quand les trois m’ont bien enculée, je dois me faire un lavement. Je n’aime pas trop ça, mais j’obéis. Si je n’ai plus de marques des coups que j’ai reçu durant « mon dressage », je porte les stigmates des brûlures de Bostancı travesti clopes et de certains coups de fouets. Mais c’est cicatrisé, cela me rappelle juste le cauchemar que j’ai vécu, que je vis encore, et que je risque de vivre encore longtemps.

Ensuite, ils me font me coiffée, me maquiller. Je ne sais pas ce qu’ils mijotent, mais cela ne sera pas agréable pour moi. J’espère qu’il n’y aura juste que du sexe. Je me demande où j’en suis arrivée, pour trouver que des viols soient des choses douces par rapport à ce qu’il pourrait m’arriver. Greg me tend un morceau de tissu.

– Mets cette robe, tu ne porteras que cela ce soir.

Je la prends, je n’appellerait pas cela une robe. C’est très prés du corps, il y a des bretelles accrochées à une mince bande de tissu horizontale qui ne cache que mes aréoles et mes tétons, puis une autre bande de tissu fine, verticale, qui tombe sur une autre bande fine et verticale de tissu, qui ne cache que mon sexe et ma raie culière, le reste étant offert à la vue de tous. Je dois également porter de long talons-aiguille, qui accentue encore plus ma chute de reins déjà très cambrés, mettant encore plus en valeur mon cul.

– Tu vas rencontrer ton premier vrai client. Comporte-toi bien. Les dix premiers seront là pour te tester. Ils devront faire un rapport, en échange ils ne paient que le tiers de ce qu’ils paieront ensuite. Ce n’est pas la peine que je te précise ce qu’il t’attend si il n’est pas satisfait.

– Non, monsieur, ce n’est pas la peine.

Je le sais, je ne sais que trop bien… hélas… ça y est, j’entame officiellement ma vie de putain. Mais je suis bien loin de savoir ce qui m’attend réellement par la suite…

Emma :

La jeune fille de dix-huit ans pleure toutes les larmes de son corps. Elle est à quatre pattes sur le canapé. Son grand-père lui défonce la chatte, alors qu’elle suce son oncle. Son enfer incestueux c’est multiplié par trois d’un coup. Jusque à présent il y avait juste son père, maintenant il y a son tonton et son papy…

Aucun des deux ne lui fait de cadeau, son oncle, enfoncé dans sa gorge, lui baise le visage. Son ventre frappe contre son nez, ses bourses contre son menton. Derrière-elle, son grand-père n’est pas en reste, il défonce sa petite chatte comme un fou, se moquant du mal qu’il peut faire à sa petite-fille. Emma ne le voit pas, mais son père filme le trio incestueux. Cela le fait bander comme un taureau. Après eux, ce sera son tour. Il compte bien lui casser le cul. Ensuite, sa fille pourra montrer aux deux hommes qui la viole en ce moment, tout ce qu’elle a apprit pendant son séjour chez Boris.

Moi :

Pour une fois, Greg ne me baise pas pendant le trajet de trente minutes jusque à mon premier client. Il habite une grande villa. Il y a un gardien à l’entrée, travers les grilles, j’en vois plusieurs qui patrouille dans le parc autour de la villa. Je ne sais pas qui est cet homme, mais il est protégé. J’ai imaginée que c’est de chez lui que j’aurais l’occasion de m’enfuir, voir que c’est impossible me déçoit au plus haut point. Il s’arrête à la guérite, donne son prénom au garde qui s’y trouve. Ce dernier sourit, son sourire s’épanouit en me regardant. Puis il dit à Greg :

– Monsieur vous attend.

Le grille s’ouvre, Greg démarre et entre. Il se gare devant l’entrée de la gigantesque villa. Elle doit valoir des dizaines de millions.

– On descend.

J’ouvre ma portière et attend Greg. Comme il m’a apprit à le faire, je marche derrière-lui, tête baissée, histoire de montrer à tous que je ne suis pas une de ces femelles qui pensent être l’égal des hommes.

Puis je me dis « Mon dieu, comment je peux penser cela??? Mon conditionnement va bien au-delà que ce que j’ai crus. À peine sommes nous derrière la porte, qu’elle s’ouvre. Un majordome la tient ouverte.

– Bonjour monsieur, bienvenu.

Il ne me salue pas, me regardant avec dédain, comme si je ne suis rien. C’est cela, je ne suis plus rien, juste des orifices pour mes violeurs, juste une putain pour les autres, je commence à m’en rendre compte… Pas pour mes violeurs, cela fait longtemps que je le sais… mais le regard des autres… des hommes lambda comme le garde ou le majordome… mon dieu, cela me fait plus de mal que je ne le pensais…

– Splendide.

Une voix de stentor vient de retentir. Je jette juste un coup d’œil sur la personne qui vient de parler, puis je baisse de nouveau les yeux, dans une posture soumise. C’est un émir, il est grand, musclé.

– Elle est encore plus bandante que Siobanne, c’est dire.

Je pense que Siobanne est une autre des putes de Greg. Je suis persuadée de ne pas être la première à être traitée de la sorte. Ce monstre fait trop bien ce qu’il fait pour être un novice. Mais j’espère vraiment me tromper.

– Cinq cent euros la nuit, pour elle, c’est vraiment pas cher!

Je fais rapidement le calcul, si Greg ne fais payer qu’un tiers de ce que je vaux, cela veut dire que pour eux, une nuit avec moi équivaut à 1500 euros… C’est donc cela ma valeur, mon prix? 1500 balles pour une nuit? Je ne suis donc plus qu’une Bostancı travestileri marchandise? Qu’une poupée de chair que l’on loue?

– Elle a trente-deux ans, c’est beaucoup plus âgé que les putes habituelle, donc le boss ne veut pas prendre trop cher. Surtout qu’à priori, elle n’est pas destinée seulement à être une pute.

D’un côté cela me rassure de savoir que je ne ferais pas tout le temps la pute, mais d’un autre côté, je me demande quel sort il me réserve…

Je n’ai pas le temps de m’appesantir là-dessus. Il s’approche de moi, il passe sa main sous ma robe.

– Pas de culotte, j’apprécie.

Je gémis d’un plaisir simulé quand un de ses doigts me pénètre. Là, je le regarde dans les yeux. Encore une fois, mon dressage, mon conditionnement marche bien. Si je ne dois pas regarder un homme la plupart du temps, je dois le faire quand il pénètre un de mes orifices. Que ce soit avec sa bite, ses doigts ou un objet. Sauf ordre contraire bien entendu.

– Elle a la chatte bien serrée, j’aime ça, elle va être une bonne baise.

Son doigt se retire, sa main avance sous ma jupe, je gémis de nouveau, d’un plaisir simulé, alors que j’ai envie de hurler de douleur, quand il pénètre mon anus de deux doigts.

– Putain, le trou-du-cul de malade qu’elle a. Elle me traie les doigts! Toi, ma salope, tu va prendre plusieurs fois ma bite dans le cul cette nuit!

Quand il retire ses doigts, je baisse de nouveau la tête, reprenant ma position de soumise.

L’arabe regarde Greg :

– OK. Tu lui a donné le programme?

– Non, je te laisse ce plaisir.

L’émir se tourne vers moi, je garde la tête baissée.

– Je vais te prendre une première fois. Puis je vais prendre un viagra, tu me sucera le temps que je bande à nouveau. Pendant deux heures, je vais prendre tout tes trous bien serré. Ensuite tu passeras le reste de la nuit à divertir mes employés. Trente-cinq hommes en tout, tu vas voir, tu vas aimer. Quand ils en auront fini avec toi, douche rapide, puis tu me rejoindras pour une bonne baise du matin. Pour finir, vers neuf heures, Greg viendra te rechercher.

Je me retiens de pleurer, la nuit qui arrive va être très dur pour moi.

Ninon :

Quand le van s’arrête, ils lui bandent de nouveau les yeux, sans la rhabiller. Elle entend la portière avant claquer. Le chauffeur descendre. Puis la porte latéral s’ouvre, deux des hommes la font descendre. Ninon reste debout, le temps que la porte latéral soit fermée. Puis un homme la prend à chaque coude, la guidant. Elle marche sur du gravier, puis entre dans une maison. Elle le sait en entendant une porte s’ouvrir, puis un sol dur sous ses pieds.

À l’intérieur, elle entend des gémissements étouffés qui ne sont pas de plaisir. Au bruit elle reconnaît qu’une femme se fait baiser ou enculer, tandis qu’elle doit sucer un chibre. Ce qui atténue ses cris. Ninon reconnaît très bien ces sons pour les avoir fait elle-même tant et tant de fois, en se faisant prendre tout en suçant un chibre.

Elle doit monter des escaliers, puis elle entend une porte s’ouvrir, elle avance, puis elle entend la porte se refermer. On lui enlève son bandeau. Elle est dans une grande chambre avec ses quatre kidnappeurs. Tandis qu’elle reste debout, ils se déshabillent.

– On va tous te baiser dans chacun de tes trous. Pour que ce soit plus rapide, on passera par trois. Ensuite on dors.

– D’accord messieurs, ce sera un plaisir de me faire prendre mes orifices de salope par vous quatre.

L’un des quatre hommes va se coucher sur le lit, nu, bite dressée.

– Bien, fais-toi plaisir!

Aussitôt, la mort dans l’âme, mais le sourire forcé aux lèvres, Ninon grimpe sur le lit. Elle va s’empaler le sexe sur le pieu dressé. Elle sait qu’elle aura ensuite une bite dans le cul, puis une dans la bouche. Bientôt, elle aussi, comme la fille qu’elle a entendu en arrivant, poussera des cris étouffés…

Moi :

– Oui, j’adore, défonce moi la chatte plus fort!!!!

Il est huit heures trente du matin, j’arrive à simuler malgré mon corps perclus de douleur. Ma gorge me brûle rien que de parler, mon anus pulse encore alors qu’il n’y a rien dedans. Quand à la queue qui viole ma chatte, elle me donne envie de hurler, mais pas de plaisir… Pourtant, je suis là, à quatre pattes au milieu de l’immense salon de l’émir, me faisant prendre en levrette et demandant qu’il me défonce encore plus fort.

La nuit a été difficile. Après le départ de Greg, j’ai dus sucer l’émir dans sa chambre, le gorgeant profondément. Puis pendant deux heures, il m’a défoncé la chatte et le cul. Comme promis, il m’a ensuite offerte à ses hommes. Ils m’ont tous prise violemment, comme le morceau de viande que je suis devenu. Ils m’ont vraiment massacré, me faisant plusieurs fois saigné de mon sexe, mais surtout de mon cul. Fier d’eux, ils me l’ont montré à chaque fois, en prenant des photos avec leurs téléphone.

À huit heures, l’émir est venu me chercher, je n’ai pas pus me laver ou me reposer, cela ne faisait même pas cinq minutes que mon dernier agresseur m’a giclé au visage. J’ai dus simuler tout Travesti bostancı le temps aussi dur cela soit-il. Il m’a emmenée au salon, couverte de sperme, dégorgeant de semence de tout mes orifices. Il m’a fait mettre à quatre pattes, et m’a prit longtemps en levrette. Quand il a fini dans mon sexe, que je lui ai nettoyée la bite de ma bouche, je dois attendre Greg, nue, debout au milieu du salon, au garde-à-vous. Tête baissée, regardant le sol, comme la bonne pute que je suis.

Greg est arrivé trente minutes plus tard. En entrant, il me dit :

– Je vois que tu t’es bien amusé, salope.

– Oui monsieur.

– Bien, elle a été une bonne putain?

– Elle a été parfaite, mes hommes ont confirmés mon impression. Tu as fais du bon travail, c’est une bonne putain. Même en sachant que c’est un dressage, qu’elle simule, j’ai vraiment crut qu’elle prenait du plaisir.

– Bien Clotilde, tu as beau être un déchet, tu as au moins une qualité, tu es une bonne pute.

– Oui monsieur, je fais tout pour vous satisfaire. Vous et tout les hommes qui veulent bien me faire l’honneur de me prendre dans un de mes orifices de chienne.

Malgré l’humiliation de dire tout cela, je suis soulagée, je ne serais pas punis.

L’émir demande à Greg :

– Je l’envoie à la douche?

– Non, elle va juste mettre sa robe. Elle pue le sperme et le sexe, mais elle se lavera chez moi.

– Comme tu veux, mais elle va salir ta voiture. Avec tout ce qu’elle a prit, elle va dégorger pas mal de jus d’homme pendant longtemps.

– Elle nettoiera le siège avec sa langue une fois arrivé.

– Greg, tu es un esthète.

Les deux ont raison. Quand on est arrivés, j’ai nettoyée le siège avec ma langue, tout en me faisant baiser le cul par Greg. Il a juste remonté ma robe sur mes reins pour me sodomiser. Je peux dire une seule chose, il y avait beaucoup de sperme froid à la place où j’étais assise. Le goût étant presque pire que mes douleurs anal.

Emma :

Jeff ne lui demande pas de simuler pour ce premier viol incestueux de la part de l’oncle et du grand-père d’Emma. Mais ensuite elle devra leurs montrer la bonne putain avide de sexe qu’elle est devenue. Enfin, pense Jeff, il devrait plutôt dire « simulatrice de plaisir », car avide, son père sait qu’elle ne l’est pas. Que chaque pénétration est un calvaire pour Emma. Mais cela il s’en fou, tant que lui, y prend du plaisir. Il bande bien dur en voyant son enfant se faire simultanément défoncer la chatte et la bouche.

Quand les deux hommes ont jouis en elle, Emma n’a pas le temps de bouger. Déjà son père est derrière-elle, il l’encule d’un seul coup, à sec. Elle pousse un cri de douleur, qu’elle ne peut retenir. Mais elle se rattrape vite. Son conditionnement marche si bien, que rapidement elle se met à simuler un plaisir qu’elle ne ressent absolument pas. Emma ne le sait pas, mais ce n’est que le début. Pendant plusieurs jours, elle va être la poupée sexuelle de son père, son oncle et son grand-père. Ils vont user et abuser son corps jusque à plus soif.

Ninon :

Le calvaire est le même pour la jeune et belle prof. Pendant plusieurs jours, elle va se faire baiser par tout les trous par ses quatre kidnappeurs. Son calvaire va être sans fin, car quand un ou deux sont épuisé, les deux autres sont en forme. Rien ne lui sera épargné, le pire étant les nombreux viols qu’elle doit subir les yeux bandés sans savoir pourquoi. Tout cela ne conduit qu’à une chose, sa haine de plus en plus forte pour sa sœur, qui est à l’origine de tout ses maux.

Moi :

Il est dix-huit heures. Greg m’emmène à mon dixième et dernier client testeur. Je n’ai eus que des notes parfaites, obtenant les félicitations pour mon dresseur. Je suis désespérée, j’ai été laissée seule chez mes clients chaque fois. A aucun moment je n’ai eus le moindre petit espace pour tenter de m’enfuir. Je pense que cette nuit ne sera pas différente. Pourtant ce soir je ne suis pas loin de chez moi, trente minutes à pieds environs. C’est pire, se savoir si près, mais si loin aussi… Si je pouvais arriver chez moi, mon mari me sauverais, il appellerait la police, je serais sous protection, pour témoigner contre Greg et tout les autres… Tout mes violeurs… tout mes bourreaux…

Je connais la maison, j’y passe devant chaque matin pour aller travailler… enfin quand j’allais travailler, avant que je ne connaisse cet enfer… C’est une petite villa de plain-pied. J’ai une robe très courte qui m’arrive juste en dessous des fesses. Mais elle ne laisse rien à l’imagination, elle est blanche et totalement transparente. Greg se gare devant la porte d’entrée, mais on ne descend pas immédiatement.

Ton client à laissé des consignes. Quand il ouvre et nous fais rentrer, tu ne lui dis rien. Jusque à ce qu’il te le dise, tu reste habillée. Tu lui roule une pelle tout en sortant son sexe. Tu le prends ensuite en bouche en te penchant en avant. Moi je vais te baiser. Quand il te le dira, tu arrêtes de le sucer, tu te tourne vers moi, et c’est lui qui te baise. Pour finir on te prend a deux, debout, moi dans ta chatte, lui dans ton cul. Il ne veut pas que tu dise un mot, jusque à ce qu’il t’autorise. Ta nuit va être longue, il a prévu de prendre des pilules sexe-dure. Tu passe vingt-quatre heures avec lui, il a déjà fait le virement, donc il ne paiera pas. Il a payé six-cent-cinquante euros pour te tester. Normalement, tu prendra deux mille pour un jour entier.

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Histoire Africaine 02

Posted on August 21, 2024

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Amateur

Paul.

Le séjour d’Anne est très agréable, je suis heureux de la revoit. Cependant, au bout de deux semaines, Anne commence être malade.

Elle se sent fatiguée, elle vomit et a des douleurs au ventre ? Elle a les symptômes d’une femme enceinte, elle m’a dit, qu’elle ne prend plus la pilule depuis qu’elle est ici avec moi.

Je décide donc de la conduire chez un médecin.

Après m’être renseigné, j’opte pour l’hôpital qui me semblait offrir de meilleures garanties sanitaires.

Arrivés à l’hôpital, j’explique le problème à l’infirmière qui se trouve à l’accueil.

Celle-ci appelle une de ses collègues qui nous demande de la suivre.

Le long parcours dans les couloirs me permet de constater que l’établissement est assez moderne, l’infirmière nous introduit dans la salle d’attente.

Au dessus de l’entrée, un écriteau indique :

Service GYNECOLOGIE.

Un médecin sort du cabinet, il appelle la patiente qui est juste avant nous, ce qui nous permet de constater que c’est un homme, un noir d’une cinquantaine d’année. La perspective d’être examinée par un homme n’enchante guère Anne.

Tout à coup, elle me demande :

– Dis moi Paul ? Tu peux venir avec moi quand il m’appellera ?

– Oui, je veux bien t’accompagner dans le cabinet, si cela te rassure.

Que je lui réponds.

Après un instant de réflexion, elle me dit à nouveau :

– Oui, merci ! J’aimerais que tu restes avec moi pendant qu’il m’examinera. Je préfère que tu sois là, alors que je serais sûrement déshabillèe.

A présent, le problème est de savoir jusqu’où ira l’examen.

Je pense bien, qu’il la fera mettre au moins en sous-vêtements, j’espère secrètement qu’il lui demandera de retirer sa culotte.

Enfin, le médecin nous fait signe d’entrer.

Après qu’elle lui explique les troubles qu’elle ressent, il indique qu’il va l’examiné.

Juste à ce moment là, la porte s’ouvre, deux hommes assez jeunes entrent. Le médecin nous précise qu’il s’agit de deux internes en fin d’internat, alors ils vont participer à la visite.

Le médecin demande à Anne de passer dans la salle Ataşehir travesti d’examen et de se dévêtir en attendant qu’ils arrivent.

Elle se lève et elle me fait signe de la suivre aussitôt.

Nous entrons dans la salle ou trône une table d’examen gynécologique. Elle commence par enlever ses chaussures, puis dégrafe sa robe légère qu’elle retire et elle la suspend au porte manteau qui se trouve là.

Elle n’a plus sur elle, qu’un soutien-gorge blanc et un string ficelle de la même couleur, dont la transparence permet d’entrapercevoir sa fine toison.

Le médecin toujours dans la pièce adjacente dit d’une voix forte : – Vous pouvez garder que votre culotte.

Comme elle ne bouge pas, je lui précise qu’à mon avis, que cela veut dire qu’elle doit retirer son soutien-gorge.

Elle s’exécute, elle a les seins a l’air lorsque le médecin et les deux internes entrent.

Alors qu’elle est debout, les bras ballants, les deux internes l’observe d’un œil qui ne me semble pas spécialement professionnel.

L’un a le regard fixé sur ses seins un peu tombants, pendant que le second regarde avec insistance son pubis.

Le médecin fait allonger Anne sur la table d’examen et aussitôt, il se met à lui palper les seins.

Au bout de quelques minutes, il demande à l’un des internes de le remplacer et de lui donner son avis.

Le jeune interne commence donc à palper les seins d’Anne, il semble attacher une attention toute particulière aux mamelons qu’il fait rouler entre son pouce et son index, ils se mettent à durcir.

Alors que celui-ci continue son examen, le médecin commande au second d’effectuer une palpation du ventre.

Il se met alors à palper le ventre d’Anne, afin de lui faciliter la tâche, le médecin baisse un peu le string de la patiente.

Tous peuvent voir désormais une partie de sa toison et la naissance de sa fente.

Ces palpations se poursuivent quelques minutes. Je vois bien que sous la palpation, ses seins se sont redressés et ont peu plus gonflés

Le médecin enfile alors un gant en latex, je vois bien qu’il sort un Ataşehir travestileri petit pot sans couvercle de la poche de sa blouse ?

Il demande à Anne de retirer sa culotte et de bien écarter les jambes.

Elle semble asses gênée par cette situation, cependant elle fait tout de même ce qu’il lui a demandé. Elle se retrouve de ce fait entièrement nue sur la table, les cuisses largement ouvertes.

Le médecin passe trois doigts gantés dans le petit pot, que je pense être du lubrifiant. Il lui écarte les lèvres de sa vulve en les lubrifiant, puis lui introduit deux doigts dans le vagin.

Pendant qu’il inspecte les moindres recoins de son intimité, le jeune interne continue l’examen mammaire avec beaucoup de conviction.

Je vois alors le second interne enfiler un gant en latex et l’enduire de lubrifiant dans le petit pot que tient toujours le médecin.

Ensuite, il s’approche d’Anne, il lui écarte les fesses et lui introduit un doigt dans l’anus. Anne fait une grimace de surprise lorsque le doigt lui pénètre l’anus, elle a à présent les yeux clos. Sous souffle devient plus long, elle commence à haler légèrement.

Je commence à aimer le spectacle qu’ils m’offrent.

Anne entièrement nue, les cuisses complètement écartées, un homme qui lui malaxe les seins, un autre qui fait aller et venir deux doigts dans son vagin avec le troisième qui lui a enfoncé deux doigts pour lui fouiller le rectum.

Les trois médecins africains ont bien travaillés pour amener Anne vers une jouissance imprévue.

Alors devant le tableau de ma Anne en route vers un orgasme, je m’approche de son visage et je commence à l’embrasser.

Elle me regarde d’un air désolé, je lui murmure : – Laisse-toi aller ma chérie ?

L’interne qui s’occupe de ses seins a déjà sorti son sexe. Je tourné la tête d’Anne dans sa direction, je l’invite à ouvrir la bouche pour gober l’engin.

Elle commence à le sucer. Pendant ce temps le médecin a sorti son sexe, je le vois pénétrer ma Anne. Durant un bon quart d’heure, j’observe Anne en train de se faire défoncer la chatte pendant Travesti ataşehir qu’elle suce l’interne.

La nature fait son œuvre, les deux se mettent à éjaculer en même temps.

Je regarde Anne avoir un orgasme en même temps. Elle aspire la queue de l’interne pour lui vider les couilles sans en perdre une goutte.

Lorsque le médecin se retire de son puits d’amour, celui se rejette avec des spasmes du sperme sur la table et au sol

Alors qu’elle est pantelante dans les brumes de son orgasme, le deuxième interne en profite pour la faire se retourner, il tire Anne vers le bord de la table. Elle a ses jambes dans le vide et ses fesses offertes. Cet interne, toujours ganté, prend une noisette de lubrifiant dans le petit pot du médecin. Il tartine l’anus d’Anne et l’entrée de ses reins en enfonçant deux gros doigts à l’intérieur.

Anne pousse un râle de plaisir, lui, il s’enduit son imposante queue de lubrifiant.

Lorsqu’elle sent son gland se frotter sur son anus pour remplacer les doigts.

Elle pousse en très gros râle d’impatience.

Malgré ça, l’interne la pénètre violemment.

Il la sodomise pendant au moins vingt minutes, elle en a un orgasme dù tonner.

Enfin, dans un râle bestial, il éjacule au fond de ses entrailles.

Lorsqu’il se retire, Anne a l’anus béant et dégoulinant de sperme.

Moi, j’ai sorti ma queue bien dure, je regarde le médecin qui me fait un signe de la tête pour me dire va y, elle est à toi.

N’y tenant plus, je la retourne sur le dos, je mets ses jambes sur mes épaules. Je regarde son vagin que la queue du médecin a bien dilaté, il est encore gluante de sperme. Son anus s’ouvre et se referme par spasmes répétés.

Je décide de prendre son anus qui s’est un peu refermé. Je plonge ma queue dans son rectum, ça rentre comme dans du beurre. Je sens le sperme de son dernier visiteur.

Pendant que je m’acharne à la sodomiser, je la masturbe avec quatre doigts dans le vagin. Je réussis quand même à lui déclencher un petit orgasme avant lui envoyer mon sperme se mélanger avec celui de l’interne.

Elle est tellement épuisée que je l’aide à s’habiller puis nous rentrons rapidement à la maison pour qu’elle puisse se laver. Par la suite, elle m’a avoué que c’est le lubrifiant du médecin qui lui a excité la chatte et le cul.

Ce traitement a sûrement été salutaire, car depuis n’a plus de symptôme de cette maladie.

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Les ouvriers de Madame

Posted on August 20, 2024

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Anal

Suite au décès de son père, Marie-Hélène, la distinguée épouse du maire d’une ville huppée de la région parisienne (dont vous avais déjà lu les récits de quelques unes de ces aventures sexuelles plus ou moins consenties) Madame, donc, avait hérité d’une maison de campagne. En très piteux état. Elle avait donc fait appel à une entreprise pour la remettre en état. Le chantier avait commencé depuis plusieurs mois quand Madame décida un week-end d’aller voir si les travaux avançaient.

Madame arriva le vendredi vers 16h et gara son cabriolet BMW devant la maison. Elle sortit de son véhicule et avança en faisant une moue dégoûtée. Il avait plu la veille et il y avait de la boue. Faisant bien attention de ne pas tacher ses escarpins italiens, elle se dirigea vers la maison. Elle entend la radio et les rires des ouvriers ce qui l’agace au plus au point.
« Et voila ! Je m’en doutais ! Ils sont là à rigoler au lieu de bosser »
Elle rentre dans la maison et tombe nez à nez avec le peintre qui est en train de boire une bière.
Elle explose de fureur.
— Au lieu de picoler, vous ne pouvez pas bosser non ? Où est votre patron ?
Le peintre lui montre l’étage sans paraitre comprendre…Elle sait que le patron de l’entreprise emploi beaucoup d’ouvriers d’origines étrangères : portugais, espagnols, yougoslaves…Sont ils déclarés au moins se demande t’elle en montant les escaliers…
Elle ne se rend pas du tout compte par contre que le peintre, rester en bas, lorgne sur ses jambes gainées de bas cubains. Sa dernière folie en matière de sous-vêtements sexy…
Elle arrive en haut et découvre les trois autres ouvriers, dont le patron, qui eux aussi se prélassent.
Là c’est trop ! Madame est folle furieuse !
S’adressant au patron, un homme aux cheveux blancs, gros et sale, un cigare dans le bec, elle hurle :
— Mais où vous croyez vous ? Vous n’avez pas avancé d’un pouce depuis ma dernière visite ! Vous vous imaginez que je vais vous régler la note sans rien dire ?
Le patron s’avance suivi d’un de ses ouvriers.
— Allons ma p’tite dame, ce n’est pas la peine de s’énerver…Je vais vous montrer, on a bien avancé vous savez…
Madame étouffe, il se fout d’elle en plus !
Elle fait demi-tour et lance :
— Je vais vous faire une réputation ! Vous pouvez la fermer votre entreprise ! Vous ne savez pas qui je suis, Ümraniye travesti j’ai des relations ! Et je vais voir les flics, je suis sûre qu’ils ne sont pas déclarés vos employés…Qu’ils retournent dans leurs pays !
Et Madame, faisant claquer les talons aiguilles de ses escarpins sur le plancher fais mine de sortir de la pièce.
Aussitôt rattrapée par les ouvriers…Le patron lui saisit le bras l’agrippant par la manche de son élégant tailleur noir. Elle se retourne et le gifle !
Plusieurs mains s’emparent de Madame et on l’approche d’un petit échafaudage qui est situé au milieu de la pièce. Madame crie, gesticule…Elle sent qu’on lui caresse les seins par l’échancrure de la veste de son tailleur…Dessous, elle ne porte rien a part un soutien-gorge…Selon les instructions de sa bonne, Alexia, dont elle est devenue la soumise…
Les ouvriers s’exclament…
— Putain, elle a rien sous sa veste…Quelle salope de bourge !
On ouvre la veste et on baisse les balconnets du soutien-gorge ; Les gros seins de Madame apparaissent, aussitôt malaxés par des mains avides…On tire sur la pointe des tétons…Madame gémit.
On retourne Marie-Hélène et on lui attache les mains avec une corde sur les barres de l’échafaudage ainsi que les chevilles. Elle se retrouve à la merci de ses ouvriers…Qui doivent se régaler à l’idée de baiser une bourgeoise bourrée de fric, ça leur changera de bobonne…Un des ouvriers, un moustachu, retrousse la jupe du tailleur. Les bas cubains apparaissent ainsi que le porte-jarretelles. Il écarte le string de Marie-Hélène. Madame rue, et crie…
Le patron monte sur l’échafaudage et enfonce dans la bouche de Madame un chiffon sale roulé en boule…
Madame gémit, poussant des cris indistincts à travers son bâillon improvisé. Pour la faire taire, un des ouvriers, prénommé, Carlos, lui frappe le cul.
— Tais-toi, salope ! On va te baiser ma chienne, tu verras ça va te changer de tes petits minets de la haute de te faire ramoner par de vrais mâles.
Il se retourne et se saisissant d’un de ses pinceaux, il enfonce le manche dans la chatte de Madame. Un autre des ouvriers, un Yougoslave s’appelant Milan, prend des photos avec son portable.
Mort de rire de voir l’épouse du Maire avec un pinceau dans sa chatte.
Carlos fait coulisser le manche du pinceau. Pendant ce temps là, Ümraniye travestileri le peinte qui était resté en bas est monté, attiré par les cris…
Marie-Hélène, gesticule dans ses liens faisant trembler l’échafaudage…
Elle sent le pinceau qui s’agite de plus en plus vite, puis on le retire, on lui enfonce une bouteille de bière…Elle gémit.
Milan fait coulisser le goulot de la bouteille de bière…Carlos sort sa queue et se masturbe, très vite sa bite prend des dimensions impressionnantes…
Il pousse Milan, retire la bouteille et pénètre Madame en s’agrippant à ses hanches.
Madame pousse un cri étouffé. Elle sent la bite qui la martèle. Ses gros seins gigotent dans tous les sens. Le ventre de l’ouvrier vient cogner contre son ventre. Madame sent sa chatte s’humidifier. Le patron monte sur l’échafaudage et retire le chiffon de la bouche de Marie-Hélène qui aspire une goulée d’air. Il ne lui laisse même pas le temps de protester et lui enfourne sa bite dans sa bouche pulpeuse. Il prend un plaisir pervers à faire coulisser sa queue entre les lèvres rouges de cette femme si distinguée en tailleur chic…Madame, la bouche déformée par la bite, émet des borborygmes…Elle enroule sa langue autour du gland de son ouvrier…Pour ne pas s’étouffer, elle le recrache et le patron la force à lui sucer les couilles…

Carlos s’agite de plus en plus dans la chatte de Marie-Hélène. Il sent le plaisir monter de ses reins. Il sort précipitamment et éjacule libérant des torrents de sperme sur la jupe tirebouchonnée.
Aussitôt remplacé par Milan….

Tenant Madame par les cheveux, le patron enfonce son sexe aussi loin qu’il le peut dans la bouche accueillante de Madame…Celle ci a les larmes aux yeux, étouffée par l’épaisseur de la bite…
Le patron sortit sa queue et éjacula sur le beau visage de Marie-Hélène. Le sperme gicla allant s’écraser sur les cheveux et le front de notre pauvre bourgeoise…

Milan bourre la chatte de Madame comme un fou, haletant, il fait claquer violement son ventre… Les fesses de Madame tressautent à chaque coup de reins…
L’épouse du Maire gémit, secouant sa tête dans tous les sens…
Elle balbutie des mots sans suite…
— Non…Oh ! Non…Mon dieu…Ah, Ah, Ah…
Jouissant sous les coups de reins de Milan, Madame poussa un cri sauvage, la laissant pantelante…Elle Travesti ümraniye se serait écroulée si elle n’avait été attachée…

On détache Madame et les ouvriers l’obligent à se mettre à quatre pattes sur le sol crasseux…Ses bas sont filés… Elle doit avancer dans la pièce, ses gros seins ballotant…Elle doit se déplacer ainsi jusqu’au dernier ouvrier, le peintre. Elle aspire la bite noueuse et commence sa fellation. Aspirant la queue, donnant de petits coups langue sur le gland….Léchant la hampe puis les couilles du peinte qui donne des coups de reins…Le peintre la repoussa en arrière et, Madame étant tenue par les autres afin qu’elle reste prosternée sur le sol, il fit le tour et s’enfonça dans sa fente. Madame poussa un feulement rauque. Son corps est secoué par les coups de reins violents du peintre qui halète en insultant Madame…
— Salope, je te défonce comme une chienne…
Madame gémit, ondule de la croupe, son corps répond aux coups de reins du peintre, le visage ravagé, elle subit les assauts de son ouvrier…
Le peintre s’agita encore dans la chatte de l’épouse du maire et il se retira, se positionnant devant le visage de Madame, il lui ordonne de le sucer. Docile, domptée, elle ouvrit la bouche et avala la bite dressée…De nouveau, elle lui tète le gland, lui caresse les couilles…
A ce rythme là, il ne tarde pas à libérer sa semence qui va s’écraser sur le visage de Madame qui tire la langue pour en avaler un peu….
Les ouvriers relèvent Marie-Hélène, qui a du mal à retrouver son équilibre, les jambes coupées…On la pousse vers la sortie en lui claquant les fesses et en lui lançant des commentaires salaces…
— T’es vraiment une bonne salope, reviens quand tu veux…
— Une super pipeuse, reviens vite nous voir !
Elle s’enfuit, sous les quolibets des ouvriers qui ricanent…

Madame est de retour chez elle. Heureusement, son époux est absent. Elle sort de sa voiture et avance, ses talons faisant crisser le gravier…Son tailleur est maculé de traces de sperme, elle a nettoyé tant bien que mal son visage…
Elle tombe sur sa bonne qui l’interroge sur sa tenue…Rouge de honte, Marie-Hélène lui explique sa mésaventure…
Alexia ricane :
— Madame c’est encore comportée comme une vraie pute, on ne peut pas la laisser seule 5 minutes !
Marie -Hélène veut protester mais sa bonne lui intime le silence d’un geste autoritaire.
— Ca suffit ! Tais toi salope ! Demain, tu seras punie, je sais exactement ce qu’il faut a des bourgeoises salopes dans ton genre….
Madame ne répondit pas, craignant le pire, et monta dans sa chambre pour se changer avant l’arrivée de son mari…

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Marie Paule Bourgeoise Partie 01

Posted on August 20, 2024

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Redhead

Dans les années 1980 je travaillais à Lyon dans une administration importante de plus de cent personnes dont bien sur une majorité de femmes.

Nous composions un petit service de six composé de Jeanine,Martine G,Martine A,Marie Paule,Jean Paul et moi Pierre.Marie Paule etait la plus âgée 56 ans et la responsable de cette petite unité. Elle était mariée et mère de deux enfants,sinon nous étions tous célibataires entre 26 et 32 ans.

Marine A etait séparée de son mari et avait une fille ado,et en plus elle était ma maitresse très docile depuis sa séparation, j’avais été le consolateur et avait bien profité de sa détresse. Elle sucait très bien et était disponible n’importe ou,n’importe quand pour me vider les couilles.Personne n’etait bien sûr au courant,et moi je fantasmais sur Marie Paule très bourgeoise bcbg,un peu hautaine mais gentille avec nous,nous aurions ou être ses enfants.

Et un jour Jeanine dut se faire opérer d’un hallux valgus ce qui voulait dire huit semaines sans la voir.Aussi ah bout de cinq semaines quand elle commença à aller mieux elle nous invita un vendredi soir à passer la soirée chez elle un .Seuls Martine A,Marie Paule et moi etions disponibles et après le travail nous partimes chez elle en voiture conduits par Martine direction Bourgoin à 30 km de Lyon.Nous fumes reçu d’une maniere excellents et après un bon repas Tuzla travesti bien arrosé nous decidames d’aller en boite ou de nombreux amis de Jeanine nous attendaient.

Après avoir ingurgité un certain nombre de verre je m’installai sur une banquette avec Martine pour flirter voir plus.Je l’embrassais en lui trtiurant les seins l’autre main glissée sous sa jupe quand Marine me fit remarqur que Marie Paule s’était isolee avec un ami de Jeanine qui se prenommait Henri.Il avait commencé à deboutenner le chemisier de Marie Paule qui essayait de se proteger mais sous l’emprise de l’alcool elle n’etait pas de taille. Excité je le regardais descendre les balconnets du soutien gorge et apparaitre des seins magnifiques en poires avec des tetons qui pointaient sous l’excitation et les caresses manuelles de Henri. Malgré la musique nous entendions Marie Paule dire non…non… je ne veux pas… je suis mariée. Henri ne s’occupant pas de ses protestations glissa sa main droite sous la jupe de Marie Paule qui en plus portait des bas noirs avec porte jaretelles .La jupe remontait doucement et on apercevait sa culotte en dentelle blanche qui s’humidifiait malgré elle. Henri caressait la chatte de Marie Paule par dessus la culotte et nous la vimes se mordre les levres er respirer plus rapidement disant non non je vous en prie pas ça non s’il vous Tuzla travestileri plait……..Henri bandait comme une ane et ouvrit sa braguette pour sortir sa bite …il ne portait pas de slip… à notre grande surprise. il commencait à appuyer sur la tête de Marie Paule pour l’obliger a venir lui sucer la bite. Ne voulant pas de cela j’envoyai Martine a son secours. Elle arriva devant le couple et prit la main de Marie Paule pour qu’elle enserre la bite longue et epaisse d’Henri. Elle essaya de résister mais Martine lui tenant la main elles se mirent toutes lss deux à branler cette bite qui coulait et au bout de 5 minutes de se branlage â deux Henri poussa un gemissement et des torrents de sperme atterrirent entre les mains des deux femmes et sur la jupe de Marie Paule qui se mit à sangloter.. Je me levai à mon tour et me dirigeai vers le trio pour signifier que nous devions rentrer il etait tard et les dames devaient penser à leurs enfants. Frustré Henri protesta mais je lui promis que nous reviendrions et qu’il lui restait Jeanine à baiser pour la nuit .

Nous rentrames assez rapidement Marie Paule à l’arriere de la voiture somnolait tout en sanglotant,moi je caressais la chatte de Martine qui avait retiré sa culotte avant de prendre le volant. Nous depisames Marie Paule devant son immeuble avec sa jupe souillée et lui souhaitant Travesti tuzla un bon week end nous lui dimes a lundi avec des idees3 plein la tête. Des que Marie Paule fut rentre chez elle ,je demandai a Martine de me raccompagner chez moi,un petit studio dans un quartier calme de Lyon. Je lui demandai de bien vouloir venir avec moi et à peine rentrés dans l’appartement je lui dis de se deshabiller totatelement. Elle se mit complètement nue, la chatte épilée depuis peu et se mit tout de suite à genoux devant moi. Elle savait ce qu’elle devait faire sans que je lui dise. Elle defit mon pantalon et le retira ainsi que mon slip, puis elle commença à me branler avec ses seins pour parfaire mon erection. Après quelques minutes de ce traitement elle mi ses mains dans le dos et avala ma bite pour commencer à me sucer,je lui pris la tête à deux mains et la forcait a m’avaler en entier,elle était au bord du vomissement et de l’étouffement mais je lui laissais parfois quelques secondes de répit. Après une quinzaine de minutes de ce traitement je sentis la jouissance arriver et des jets de sperme se repandirent dans sa gorge, elle avala tout consciencieusement et me nettoya la bite avec application. Elle avait l’habitude elle aimait cela et je lui avais bien appris.

Après cet intermède je lui dis que je devais préparer notre plan pour s’occuper de Marie Paule dès lundi pour une fois que nous étions témoins d’une faiblesse, Je lui dis qu’elle devrait m’aider et faire tout ce que je lui dirais. En attendant elle devait m’attendre dans mon lit en se masturbant mais sans jouir,dd toute façon je pouvais la surveiller depuis mon bureau.

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Room and Board 02

Posted on August 20, 2024

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Ass

Elle le fit rentrer avec ses deux valises. Ils avaient évidemment libéré la chambre qu’il partageait et avait immédiatement fait un heureux, l’immeuble des étudiants étant complètement plein. La belle réceptionniste qui lui faisait toujours des sourires s’était figée en voyant Mme Henri, comprenant qu’il allait habiter avec elle. Il lui sembla voir un regard triste qu’elle essayait de masquer en présence de la femme.

– Oula, quelle atmosphère là bas, heureusement que je t’arrache à ce guêpier, maintenant de toute façon ce n’est plus possible de revenir en arrière, c’est plein pour une année et tu as perdu ta place…..dit-elle de manière incompréhensible.

Ils allèrent dans la cuisine et elle le fit s’asseoir. Elle voulait lui faire comprendre le contrat qu’il avait signé sans le lire.

– tiens j’ai fait une photocopie que je garde ici, l’original je l’ai amené à mon avocat tout à l’heure. Il le garde c’est mieux comme cela.

Elias la regarda sans comprendre.

– Tu comprends que je dois aussi défendre mes intérêts. Je ne te connais pas encore intimement et il s’agit de ma maison tout de même, fit-elle comme vexée de son air suspicieux

– oui…oui.. je comprends, dit-il comme pour s’excuser

– Je comprends, Madame, fit-elle rudement

Il répéta, le visage rouge de surprise et de honte.

– Désolée de devoir mettre les points sur les « i », garçon, dit-elle comme encore fâchée. Je veux que les choses soient claires entre nous dès le départ, je veux de la discipline et du respect.

– oui……Madame, dit-il finalement en voyant ses sourcils se froncer.

– Je vais m’occuper de superviser tes activités religieuses. Comme tu as pu le voir, je suis une paroissienne très active et les garçons que je prends dans ma maison deviennent exemplaires. J’ai vu que tu es de la même confession, ce qui m’a décidée, entre autres, de te prendre. J’ai demandé à Mme l’Abbé son accord et elle m’a dit qu’elle me soutiendrait à nouveau. Ce n’est pas facile de former et dresser un garçon, dit-elle en le fixant.

Elle vit qu’il essayait de comprendre mais semblait comme paralysé par son autorité et les mots qu’elle lui imposait. Il était rouge à nouveau et rapidement baissa le regard, sans lui répondre.

– Je vais faire ton éducation et je veux que tu me rendes fière, face à mes amies et paroissiennes, dit-elle d’une voix radoucie

En rentrant de ses cours, il marchait lentement et n’arrivait pas à penser à autre chose que l’attitude de sa logeuse. Elle venait d’une autre époque, révolue, pensa-t-il en essayant de se rassurer. Faire son éducation? Elle avait perdu la tête. Et il ne voyait pas en quoi il devait montrer du respect. En plus il avait horreur qu’on l’appelle garçon, comme un enfant. Son attitude avait changé complètement depuis qu’il avait signé et quitté son dortoir. Elle le tutoyait familièrement et possessivement. Il décida de partir rapidement et réfléchit à un plan. Il accélérera le pas. Ses affaires étaient toutes ici, il avait perdu sa chambre et il devait trouver un autre endroit.

– Elias? Bonjour, fit une voix, le surprenant alors qu’il s’apprêtait à franchir le portail de la maison.

Il se retourna. Une femme âgée et petite le regardait en souriant, aimablement.

Il sourit également.

– Bonjour Madame, dit-il poliment en s’arrêtant

– C’est bien toi Elias, le nouveau locataire, dit-elle d’une voix douce

– oui…oui, c’est bien moi

– C’est bien ce que je pensais, dit-elle comme rassurée, je m’appelle Mme Hermione, mais tu peux me dire Madame… Dis, est-ce que tu peux m’aider, je suis vraiment embarrassée avec mes commissions, tout est trop lourd pour moi.

– Bien sûr, dit-il poliment en venant chercher les sacs qu’elle pointait de son index. Il les prit tous d’un coup et les souleva.

– Pendik travesti Mon dieu ce que tu es énergique, dit-elle admirative. Viens je te précède

Il suivi la vieille femme qui alla ouvrir la porte de la maison et le fit rentrer.

– S’il te plait retire tes chaussures et sois un cœur d’amener tout cela dans la cuisine.

Il la regarda quitter la pièce. Il retira ses chaussures, se demandant pourquoi elle gardait les siennes.

– Merci, mais ce que tu es fort, dit-elle admirative, elle palpa rapidement son bras comme pour confirmer. Oui tu es musclé, dit-elle encore, le faisant rougir.

Il posa les sacs et prit le verre de jus de fruits qu’elle avait préparé. Sa conversation était agréable et pour la première fois il se sentit à l’aise. Elle se comportait comme une grand-mère, attentive, douce et tolérante. Il resta assis, n’osant pas lui dire qu’il devait rentrer.

– Bon, ce n’est pas tout, il me reste une foule de chose à faire. Merci de ta visite. Il suivi la femme qui se mit devant ses chaussures et attendit les mains sur les hanches.

Il se pencha pour enfiler ses chaussures, se retrouvant dans une position gênante devant la femme qui le toisait. Il releva la tête et vit qu’elle souriait.

– Prend ton temps, ce n’est pas tous le jours que j’ai un mignon garçon à mes pieds, dit-elle en riant

– euh, bafouilla-t-il en devenant écarlate. Il se releva nerveux.

– Merci Elias, tu es vraiment un cœur. Il la vit prendre un billet dans son porte-monnaie qu’elle tenait en main.

– ce..ce n’est pas nécessaire…protesta-t-il voyant qu’elle voulait le payer

– tut tut, dit-elle, je sais qu’a ton âge on aime bien s’acheter des friandises. Il vit la femme tendre sa main et glisser le billet dans la poche devant son pantalon. Il se figea alors que la main rentrait dans son habit, glissant sur son aine lentement et sur le devant de sa cuisse.

– Voilà, je le mets profondément pour que tu ne le perde pas. Elle releva la tête et le fixa alors que sa main tournoyait en ressortant.

Il rentra un peu désorienté. La femme était si gentille qu’il avait oublié ses soucis mais il se demanda si ses gestes n’étaient pas un peu étranges.

La propriétaire l’apostropha alors qu’il rentrait.

– Juste à temps Elias, dit-elle en lui faisant signe de la rejoindre.

Elle posa les papiers devant lui et expliqua.

-….et comme de toute façon l’année scolaire est jusqu’à fin aout, j’ai compté douze mois et débité ton compte pour ces mois de loyer. Elle vit son expression surprise et continua.

– je sais que cela fait une somme pour toi, mais de toute façon tu dois la payer, autant le faire d’un coup. Et puis on n’en avait pas discuté dans le détail, mais c’est demi-pension, petit déjeuné le matin à 7h et repas le soir, à 18h, je ne veux pas que tu traine dehors, le repas de midi, nous verrons. Pour me payer, tu feras du travail de ménage et dans le jardin, deux heures par jour. C’est dans le contrat. Je conterais tes heures et à la fin du mois, on verra si tu n’as pas le total.

– …mais…mais….bafouilla-t-il pâle et estomaqué

– Je sais deux heures chaque jour la semaine c’est difficile, mais tu peux les garder pour le week-end, même si tu risques d’y passer le samedi en entier. Le dimanche est réservé au seigneur, et nous serons la mâtinée à la messe.

– …mais….Madame..

– Oui garçon, dit-elle attentive

– je…je…ne voulais pas payer tous ces mois….je…

– Tu as signé le contrat, maintenant c’est fait. Il fallait réfléchir avant. Moi je ne veux pas sans arrêt mettre des annonces et chercher un garçon…. et puis je vois bien que tu as besoin de moi, pas seulement pour les aspects de la religion mais aussi pour t’aider au quotidien. Tu es encore un jeune garçon dans Pendik travestileri ta tête, avec un corps de jeune homme, et c’est là qu’une femme mûre comme moi peut te guider et t’imposer une discipline indispensable.

Elle fixa le garçon stupéfait et qui restait silencieux, le regard fixé sur le sol.

– Mais évidemment si tu n’es pas content avec mes exigences, tu peux toujours partir, tu es libre… Mais tu ne récupères pas ton argent du loyer pour autant…C’est pour cela que j’ai fait le transfert immédiatement, je sais que les garçons à ce stade essayent tous de partir et je dois les aider à ne pas le faire. Laisse-moi décider en tout, c’est beaucoup mieux pour toi. Tu vas être évidemment souvent surpris par ma sévérité et la discipline que je vais t’imposer mais à terme tu comprendras que cela fait sens. De toute façon je sais que tu seras très bien ici, c’est exactement ce qu’il faut à un garçon comme toi, tu as juste besoin de t’habituer.

La femme fixa le visage du garçon qui se décomposait au fur et à mesure de ses explications. Elle se leva.

– Porte tes valises en haut, je vais t’aider à t’installer.

Elias suivi la femme qui montait les escaliers et se retrouva dans un grand hall qui s’ouvrait sur un salon avec plusieurs portes sur l’autre coté du couloir.

– C’est ton lit, dit-elle en pointant du doigt un lit qui semblait être ajouté au dernier moment, au milieu du hall.

Il regarda autour et vit les meubles anciens qui aménageaient la pièce. Il comprit qu’il n’avait pas de chambre, mais juste un lit. Il restât médusé.

Il la vit ouvrir sa valise sur son lit et sortir les habits et les ranger dans une commode de l’autre coté de la pièce. Il était comme paralysé et la regardait trier ses affaires personnelles. Il rougit en la voyant sortir ses sous vêtements. Elle continuait à parler, joyeuse de tout organiser. Elle sortit ses affaires de toilettes et les amena dans la salle de bains, en face du salon. Elle le rejoint en chantonnant. Elle empila les vestes et trouva ses documents officiels.

– je….dit-il soudain sortant de sa torpeur.

– Chut garçon, dit-elle en levant la main. Je sais que c’est important, tes papiers d’identité, l’assurances, les diplômes. Je vais tout mettre en bas dans le bureau, ce sera en sécurité.

Elle releva la tête en le voyant hésitant. Elle voulait s’assurer qu’il ne parte pas sur un coup de tête. Et sans papier, il ne pouvait pas. Et maintenant qu’elle les avaient, elle n’allait jamais les lui rendre, enfin….avant quelques années…..

Il la vit partir avec ses documents. Il resta figé, comme paralysé, stupéfait. Il réalisa qu’il préférait mettre son pyjama dans l’intimité et renonça à la retenir pour garder ses papiers, il avait besoin d’intimité. Il se déshabilla et mit son pyjama.

Il ressentit comme une rage le prendre. Cela n’allait plus, il devait stopper ça. Il alla dans la salle de bains et ferma la porte et poussa le loquet. Il parcourut la pièce du regard, elle était grande et bien éclairée avec une grande baie vitrée. La douche était protégée par des grandes vitres sur les côtés et ouverte devant. En face, elle s’ouvrait sur une autre pièce avec une sorte d’arcade large qui les délimitaient. Il s’approcha et vit une chambre spacieuse avec une moquette épaisse et un grand lit. Il resta immobile en contemplant la chambre, voyant une porte ouverte qui donnait aussi sur le couloir, comprenant que cette salle de bains était aussi celle de la femme. Il réalisa que son intimité était menacée. Surtout lorsqu’il prendrait sa douche. Il n’entendait rien dans le couloir et se dirigea vers les toilettes. Il baissa son pyjama et sortit son pénis pour uriner. Il respira à nouveau alors qu’il remontait son pyjama, n’ayant pas arrêté de fixer la chambre, à coté des toilettes Travesti pendik qui l’exposait de manière impudique. Son pénis s’était agrandi sous l’émotion. Il alla se coucher et reprit son souffle, soulagé d’être masqué par sa couverture. il fit semblant de dormir alors que les pas de la femme faisaient grincer les escaliers en bois. Il le sentit le regarder puis s’éloigner. il s’endormit.

– Debout, garçon dormeur, dit une voix douce. Il gémit doucement, encore endormi. Sa peau était chaude et agréable, elle avait passé sa main sous son pyjama et caressait son dos lentement. Elle glissa sur son flanc et descendit sur sa hanche faisant glisser vers le bas son pyjama et découvrant ses fesses blanches.

Il ne semblait pas réaliser qu’elle le déshabillait lentement. Il était sur le coté et lui tournait le dos. Sa main alla caresser son ventre, remonta sur son torse pour agacer les tétons qui durcirent. Le garçon respirait lentement, rendormi. Elle se pencha par dessus et pu apercevoir son pénis épais qui pendait et était malheureusement ramolli. Ses caresses ne semblaient pas le faire durcir. Le manque d’habitude pensa-t-elle déçue. Elle le laissa, remit la couverture et se leva.

– Aller, debout maintenant dit-elle d’une voix forte le faisant sursauter.

Il se retourna et la dévisagea incrédule.

– Je te laisse 30 minutes pour te laver minutieusement. Nous avons la messe, ensuite tu rencontres Madame l’Abbé, puis nous allons rendre visite au directeur de ton école, M. Juliard que je connais bien. Je veux que tu fasses bonne impression et te montrer sous ton meilleur jour.

Il avait tourné la tête et vit la femme s’éloigner. Il émergea lentement réalisant à quel endroit il se trouvait. Il repoussa le drap pour se lever et constata qu’il était à moitié déshabillé. Il se rajusta et alla à la salle de bains et ferma la porte à clé. Elle était baignée de lumière. Il fixa l’autre chambre qui était vide. Il n’avait pas le choix et il espérait que la femme respecte son intimité. Il enleva son pyjama et le mit sur un crochet sur le mur. Nu, il traversa la pièce et se mit dans la douche. Il tournait le dos, faisant face au mur et ouvrit l’eau. Un jet puissant et chaud l’enveloppa. Il se sentait bizarre, complément nu et exposé au regard. Sa verge durcit malgré ses efforts.

– Oh non, pensa-t-il en se retournant, regardant la chambre. Son pénis était dur et pulsait. Il se masqua avec ses mains un moment puis se décida à se savonner. Il savait que ses fesses étaient exposées mais espérait que la femme ne le voit pas. Il se lava les cheveux après avoir coupé l’eau. Couvert de mousse il frottait son corps.

– allez garçon, je ne veux pas être en retard, rince-toi et va t’habiller, dit la femme depuis l’autre pièce, le faisant sursauter. Il tourna la tête et vit la femme qui le regardait.

– oui….madame, dit-il en s’étranglant. Il rouvrit l’eau et se rinçât. Lorsqu’il regarda, la femme était partie. Il mit ses mains sur son pénis dressé et traversa la pièce pour prendre le linge. Sa tête tournait. Il se sécha et remis son pyjama. Sa verge pointait vers le bas mais restait turgescente. Il prit le linge et le garda devant lui pour se masquer et quitta la salle de bains.

La femme l’attendait vers son lit. Elle avait posé des habits dessus et le fixait. Il se rapprocha d’elle.

– Pourquoi tu as remis ton pyjama après ta douche, demanda-t-elle surprise et prenant le linge et lui retirant. Tu ne te gênes quand même pas devant moi? dit-elle surprise

– …euh….non….non, bafouilla-t-il

– Tant mieux parce que nous allons être ici ensemble un long moment et je suis une femme mûre qui sait comment est fait un garçon, j’espère que tu n’en doute pas? dit-elle comme si elle était offusquée par son attitude.

– oui..je…murmura-t-il un vertige le prenant et des fourmillement dans son corps.

La femme avait les bras croisés et le toisait. Il resta immobile, n’osant ni se déshabiller ni lui faire front.

– Aller, dépêche-toi garçon, nous avons une journée chargée. La femme se retourna et alla s’affairer plus loin.

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Une Promenade En Forêt 2

Posted on August 20, 2024

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Babes

– Ben justement c’est c’qui nous plait! Allez, à g´noux!”

Tandis qu’elle se met lentement à genoux, ses gros nichons viennent balloter devant la grosse pine de Tonton dont l’érection grossit à vue d’œil.

Mince, de son côté, Jojo a baissé culotte et présente à quelques centimètres de mon visage sa grosse queue bizarrement tordue au gland décalotté de la taille d’une clémentine. Il est couvert de sécrétions blanchâtres et pue une abominable odeur de vieille pisse et de sperme macéré.

– Allez, suce ma zézette! me dit-il.

– Jamais…

– Tonton! Y veut pas sucer ma zézette!

– Ah y veut pas!, rugit Tonton, Puisque c’est ça tu vas voir c’qu’on va faire à ta pute! Vous deux, t’nez lui les bras!”

Roger et René attrapèrent les poignets de Marie-Hélène tandis que Tonton, l’empoigne par les cheveux et la force à approcher son visage de sa queue. De l’autre main il déboucle son ceinturon, l’enlève et enroule l’extrémité de la boucle autour de sa main.

Le premier coup s’abat sur les fesses rebondies de Marie-Hélène qui pousse un cri de surprise. “Alors, me dit tonton, là c’était une caresse, mais si tu lui suces pas la queue je continue plus fort sur ta femme – Ok, ok, arrêtez, je vais lui sucer sa bite à ce petit salaud, mais arrêtez de fesser ma femme!

J’ouvre la bouche et enfourne le gros gland puant au fond de ma gorge. J’ai un haut le cœur et manque de vomir tant la pine du débile sent mauvais, mais surmontant mon dégout je me mets à pomper tandis que Jojo m’appuie sur la nuque en ricanant. Du coin de l’œil, je jette un coup d’œil à ma femme.

Marie Hélène me regarde avec effarement. Elle en aurait presque oubliée qu’elle est à poil devant des psychopathes. Moi en train de sucer une queue! Jamais elle n’aurait imaginé un tel spectacle!

Tonton regarde en se marrant :

Rien de tel qu’un bon bourge pour sucer de la bite. Et rien de tel que sa femme pour sucer la mienne. Allez c’est pas le tout, mais y a mon engin qui s’impatiente. Suce ma salope.

Marie Hélène a les yeux fixés sur l’énorme truc qui vacille devant ses yeux. A quelques centimètres de l’engin, elle n’en croit pas ses yeux

– C’est sur que c’est pas ton calibre habituel, fait Tonton goguenard. Mais comme t’as une belle bouche de suceuse, tu vas bien t’en tirer je suis sûr.

Marie Hélène entrouvre doucement les lèvres puis, résolument, comme si elle se jetait à l’eau, elle se met à pomper Tonton tout en lui massant les couilles d’une main

– Mais c’est que tu y mets du tien ma jolie, Kadıköy travesti on dirait qu’une pine de cheval ca t’excite hein ma salope, mmm, tu suces pas si mal! Ouais ma cochonne, tu me même fais bien triquer là, tiens ajoute-t-il en lui palpant les mamelles avec gourmandise, vas-y doucement, je te réserve mes giclées pour plus tard.

Le spectacle offert par Marie Hélène m’excite au plus haut point. Tout en suçant l’infâme débile, je ne peux détacher mes yeux du spectacle de ma femme, la croupe bien tendue reposant sur ses pieds et avec cet énorme braquemard dans la bouche.

Merde, me dis-je, on dirait qu’elle prend son pied maintenant.

Paf, le débile vient de me donner une mandale parce que j’ai un peu trop appuyé sur sa bite je me remets à pomper plus doucement. Son gros gland m’étouffe mais la vérité c’est que je bande encore plus.

A côté de Tonton, Roger a carrément baissé culotte et se branle doucement, ses yeux porcins mi-clos

– La bonne truie, qu’est ce qu’elle va prendre, elle va en avoir plein la vulve.

– Et le trou du cul ajoute René qui, s’étant couché par terre pour avoir le visage à hauteur du cul de Marie Hélène, a entrepris de faire pénétrer sa langue dans l’anus de ma femme.

En voyant cette grosse langue lui fouailler la partie la plus intime de son anatomie, je ne peux m’empêcher d’avoir un frémissement du bassin. Elle aussi d’ailleurs, je le vois d’ici, cette salope!!!

Tonton le remarque et entreprend de lui pétrir encore plus les nichons tout en enfonçant rythmiquement sa grosse queue dans la bouche.

Ah t’aimes ça, je le sentais bien ma jolie pétasse, tu vas être mon sac à foutre de luxe. Allez, maintenant lève-toi comme une bonne petite pute obéissante et assied toi sur le rebord

Marie Hélène s’exécute docilement et s’installe cuisses écartées, totalement offerte. Roger et René se sont mis à gauche et à droite et la pelotent tandis que Tonton positionne son braquemard devant sa chatte. D’un coup il s’enfonce en poussant un grognement puis il commence à la pilonner tout en palpant ses seins avec appétit

Les salauds sont excités comme des babouins en rut. Tonton fait coulisser son énorme queue dans la chatte trempée de Marie Hélène. Incroyable, la salope a les yeux mi-clos et semble prendre son pied! L’autre s’en est rendu compte et lui chuchote des saloperies à l’oreille. Maintenant il a placé ses mains sous sa croupe et la soulève rythmiquement en poussant des ahanements de bête tandis que Roger et René frottent Kadıköy travestileri leurs queues sur les flancs de ma femme. Tandis que leurs mains palpent ses mamelles et tirent sur ses tétons, ils la matent avec le regard de mecs qui viennent de passer un an de taule sans voir une nana. Le spectacle m’excite tellement que je me surprends à sucer avec application la bite de Jojo. Le petit fumier a l’air d’apprécier, il ronronne de plaisir et me pousse la nuque pour que je pompe plus profond. Putain, il me prend pour sa femelle. J’espère qu’il ne va pas lui venir l’idée de me la mettre dans le cul, son truc me déchirerait. Jojo est de plus en plus excité il demande :

– Tonton, je peux lui détacher les mains, je voudrais qu’il me caresse les couilles!

Tonton grogne sans arrêter ses mouvements de va-et-vient dans le minou de Marie Hélène :

– Détache le et fais ce que tu veux, si il n’est pas sage, tu cognes.

Tandis qu’il me détache Tonton continue de soliloquer

– Putain qu’elle est bonne sa pétasse.. Tu sais que tu es bonne toi, reprend-t-il en remontant encore plus haut les cuisses de Marie-Hélène.

Elle a ouvert les yeux et pousse des petits gémissements de plaisir.

T’es une bonne petite salope lui dit Tonton en faisant tourner son sexe dans celui de ma femme qui pousse un soupir comme je ne lui en ai jamais entendu!

Fallait juste que tu trouves une grosse biroute adaptée à ta petite grotte. T’aimes les grosses pines hein ma jolie pouffiasse, t’aime beaucoup ça les grosses pines!

– Oui, oui répond Marie Hélène, en le regardant avec des yeux de chienne en chaleur, encore, encore!

Tonton accélère le rythme

– T’inquiète pas ma beauté, je vais te bourrer et pas qu’une fois. T’as de la chance j’ai les couilles bien pleines. Hummmm, René et Roger au lieu de vous branler sur elle, rendez-vous utiles et tenez lui les cuisses encore plus haut, je vais bientôt tout lâcher.

Les deux comparses de Tonton ont chacun empoigné une cuisse de Marie Hélène et lui écarte bien l’entre jambes. Tonton accélère comme un malade et Marie Hélène pousse de grands beuglements à chaque fois que le vit du gros porc vient cogner au fond de son vagin dans un bruit de clapotis.

Jojo est très excité par le spectacle, il m’a fait tourner pour mieux voir et me force à le sucer plus vite. Le petit merdeux va tout lâcher j’en suis sûr.

Tonton sort tout d’un coup son membre du con de Marie Hélène. Tenez la bien, dit- il à Roger et René , et il Travesti kadıköy dirige son énorme queue comme une lance à incendie vers les nibards de ma femme. Une puissante giclée de foutre vient se répandre sur sa jolie poitrine. Une deuxième atterrit bientôt sur son visage tandis qu’elle jouit à perdre haleine.

Jojo se met à jouir à son tour et son liquide crémeux et âcre vient encombrer ma bouche. Je manque étouffer et suis obligé de déglutir et d’avaler encore et encore avant que Jojo ne retire sa pine de ma bouche. Je m’écroule alors dans l’herbe et ma main peut enfin branler ma bite qui me fait mal tellement j’ai envie.

Pendant ce temps, Tonton s’est éloigné de ma femme ; sa trompe a un peu molli et il s’approche d’abord de Jojo pour lui tapoter la tête : il suce bien le petit mari de la bourge, hein mon Jojo?

– Oh oui, c’est une bonne lui aussi dit Jojo en rigolant.

– On va voir dit Tonton qui s’assied à côté de moi et m’empoigne la tête pour amener mes lèvres sur son engin.

– Nettoie avec ta langue, dit-il, que je puisse m’occuper de ta femme quand les deux autres l’auront enfilée.

J’ai du mal à ouvrir suffisamment grand la bouche pour le truc de Tonton et me contente dans un premier temps de lécher le pourtour de son gland où je retrouve l’odeur de la cyprine de Marie Hélène.

Un gémissement de sa part m’indique que Roger et René ne sont pas restés inactifs pendant ce temps. Ils l’ont fait descendre et elle est à quatre pattes sur le sol, au dessus de René dont elle suce le sexe tandis que Roger la prend en levrette en lui claquant ses fesses qui deviennent rouges tant il y met du cœur!

Tonton se marre et me chuchote,

– ta salope est tellement, tellement bonne que je crois qu’après cette séance, on va l’emmener dans un endroit qu’elle va aimer, y-a une vieille école qui sert plus à rien maintenant, pas loin d’ici, et je la verrais bien nous faire un petit spectacle si on invite des amis. Je suis sur qu’elle a des escarpins talons haut et une bonne petite robe un peu salope un peu bcbg, t’iras chercher tout ça hein?

– Dis donc me dit-il sans attendre de réponse, tandis que son sexe se remet à grossir dans ma bouche, c’est vrai que tu suces pas si mal, une vraie petite femelle!

Tandis que je lui fais son début de pipe, les autres tarés s’excitent de plus en plus. Roger pousse un beuglement. Maintenant, il accélère en empoignant les hanches de Marie Hélène. De là où je suis, je vois ses longs cheveux noirs plongés dans l’entre-jambes de René qui est en train de jouir en couinant. Mmm, j’aimerai voir son visage de catin à cet instant me dis-je, tandis que Roger profère des insanités et jouit à son tour alors que Marie Hélène parcourue d’un immense frisson, vient enfin s’écrouler dans l’herbe, le visage et les cuisses dégoulinant de sperme.

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